Le blé en baisse, dans le sillage de Chicago

La hausse de la grivna ukrainienne « est également un élément de renchérissement des cours basés en dollar », soulignait le cabinet Agritel.

En France, l'activité restait soutenue dans les ports, cette semaine, grâce aux exportations, notamment vers l'Algérie, notait un opérateur qui souhaitait garder l'anonymat. « Les industries françaises sont bien couvertes jusqu'à la fin de campagne, ce qui explique que le marché intérieur est nettement plus calme », ajoutait cet opérateur.

Concernant le maïs, la « récolte est en retard, ce qui entraîne des prix très tendus pour le "tout de suite" », expliquait cet opérateur. Plus globalement, les primes portuaires ont augmenté cette semaine, compte tenu du fait que les zones de chalandise des industries animales sont « les plus touchées par la baisse des rendements » subie cette année par les maïsiculteurs dans l'Ouest, et plus précisément dans la région Pays-de-Loire.

Peu avant 12 h 30 (10 h 30 GMT) sur Euronext, la tonne de blé meunier reculait d'1 euro sur l'échéance décembre à 179 euros et de 1,25 euro sur l'échéance de mars à 182 euros, pour près de 10 000 lots échangés. La tonne de maïs, elle, était stable, inchangée sur l'échéance de novembre à 163,25 euros, et en léger recul de 25 centimes d'euro sur janvier à 167,50 euros, pour quelque 800 lots échangés.

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