Les céréales toujours dans l'attente d'éléments nouveaux dans un marché très calme

Peu avant 13H00, le blé était inchangé sur Euronext, que ce soit sur l'échéance de décembre à 158,25 euros ou celle de mars, à 165 euros, le tout dans un modeste volume de transactions de 6 700 lots échangés. « On n'a pas d'éléments nouveaux, et beaucoup d'opérateurs absents qui sont à Turin », pour la 56e bourse européenne, commentait un analyste.

Alors que de nombreux grands pays producteurs comme les Etats-Unis, la Russie, ou l'Ukraine, pour ne citer qu'eux, ont affiché des récoltes historiques par leur abondance et leur qualité, la France a connu une saison catastrophique, en raison des intempéries, puis de la sécheresse.

Une tendance plus que jamais confirmée par le dernier bulletin statistique Agreste du ministère, qui évalue désormais la production française de céréales pour 2016 à 55,4 Mt, en diminution de 24% sur un an, ce qui en ferait la plus faible depuis 2003, année caniculaire, malgré des superficies céréalières plus importantes. Particulièrement touchée, la production de blé tendre atteindrait 28,2 Mt, soit 31 % de moins qu'en 2015, certes une année record.

Sur Euronext, le maïs, connaissait vendredi vers 13H00 une très légère hausse de ses cours, de 50 centimes d'euro, tant sur l'échéance de novembre à 160 euros, que sur celle de janvier, à 164 euros, également dans un volume dérisoire de moins de 150 lots échangés.

Sur le marché physique, blé et maïs étaient inchangés.

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