Vers 14H30, la tonne de blé gagnait 25 petits centimes sur l'échéance de décembre à 162,75 euros et 50 centimes d'euro sur l'échéance de mars à 168,75 euros, dans un volume d'échanges modeste de moins de 7 200 lots. « Les industries sont bien couvertes sur novembre/décembre », commentait un analyste, qui évoquait une « très, très grosse rétention » des producteurs. « Sur la scène internationale, l'Egypte a acheté sans surprise 120 000 tonnes de blé origine russe », alors que le Japon a acheté un peu plus de 132 000 tonnes de blé meunier origines Etats-Unis, Canada et Australie », notait le cabinet Agritel.
Le maïs, lui, gagnait 50 centimes sur l'échéance de novembre à 159,25 euros et 1,25 euro sur l'échéance de janvier à 165,75 euros, avec un peu moins de 1 500 lots échangés. « Il y a une très forte demande sur le maïs. La récolte prend du retard et les vendeurs ne sont absolument pas présents », notait cet analyste.
Sur le marché physique, les maïs ont pris un euro par rapport à jeudi.