Un sillon bien refermé = des quintaux supplémentaires !

Les roues de fermeture à doigts sont à privilégier en sols lourds. (©Horsch)
Les roues de fermeture à doigts sont à privilégier en sols lourds. (©Horsch)

Les roues de fermeture à doigts sont à privilégiées en sols lourds.
Les roues de fermeture à doigts sont à privilégier en sols lourds. (©Horsch)
 

Depuis trois ans, Horsch teste différents modèles de roues de fermeture du sillon de semis sur le semoir monograine. Au semis, les parois du sillon en forme de "V" sont un obstacle pour les futures racines qui ont souvent des difficultés pour traverser. Du coup, le développement racinaire est modifié et cela se répercute sur la vigueur de la plante dès la levée. C'est d'ailleurs à ce moment-là que se dessinent les composantes de rendement telle que la taille de l'épi. Résultat : le rendement est pénalisé d'entrée de jeu !

Adapter le type de roue au contexte pédologique

Les ingénieurs de la marque ont donc mesuré l'impact de différents modèles de roues. À doigts, à pics ou classiques : l'idéal est d'adapter le modèle au contexte pédologique. Par exemple, celles à doigt fonctionnent mieux en sols lourds, alors qu'une version à pics correspond plus aux terres légères et limoneuses. Selon les résultats des essais menés par le constructeur, il faut parfois associer une roue classique à une spécifique pour contrôler en même temps la profondeur du semis, casser les bords en "V" et limiter la compaction du terrain. 

Sans oublier le système AutoForce, qui adapte la pression de l'élément semeur à la texture et au type du sol. Le dispositif limite ainsi la compaction en faveur du rendement.

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