Les pluies tant espérées des agriculteurs ont fini par arriver en Europe, notamment dans l'ouest et le centre du continent. Mais leur impact ne semble pas bénéfique pour tous les pays.
Si en mer Noire, elles devraient permettre de semer dans des conditions moins sèches, sauf peut-être en Russie où « le déficit hydrique demeure » selon le cabinet Agritel, elles s'annoncent à la fois trop abondantes et persistantes en France. D'où la crainte de revivre des semis d'automne aussi compliqués que l'an passé.
En Amérique du Sud en revanche, l'eau se fait toujours attendre et cette situation pourrait se prolonger encore à cause de l'influence de La Nina, estime Agritel.