Outre des facteurs techniques (franchissement de seuils de prix symboliques), « cette culture bénéficie de la forte progression des huiles végétales sur la scène internationale, palme, soja, canola, mais également des perspectives de baisse des surfaces pour la prochaine campagne », a souligné le cabinet Agritel dans une note publiée jeudi.
Par ailleurs, l'euro s'est un peu replié face au dollar, soutenant la compétitivité du colza.
Peu après 16 h (14 h GMT) sur Euronext, la tonne de colza reculait de 3,50 euros sur l'échéance de novembre à 389,75 euros, et de 3 euros sur l'échéance de février à 392,50 euros, pour près de 9 500 lots échangés.