Marchés
Après la récolte catastrophique de 2024, la moisson de blé s'annonce « plutôt bonne » en France, un « soulagement » face aux nombreux défis auxquels sont confrontés les agriculteurs dans le premier pa (...)
Anticipant une baisse de la production aux Etats-Unis, le ministère américain de l'Agriculture (USDA) a revu vendredi à la baisse ses estimations de stocks de maïs à l'échelle mondiale.
L'accord entre la Russie et les Nations unies visant à faciliter les exportations de denrées alimentaires et d'engrais russes vers les marchés internationaux va prendre fin le 22 juillet, a indiqué l' (...)
Arterris et Val de Gascogne rassemblent leurs filiales dédiées à la meunerie en créant l’entité Moulins du Sud, qui mise sur « la proximité, la qualité et la traçabilité » et écrasera chaque année 120 (...)
Les tensions commerciales pèsent de nouveau sur les prix du colza.
Les prix du blé consolident à la baisse après avoir rapidement grimpé la veille en réaction à une offre russe temporairement resserrée.
La chute libre des notations de culture de maïs grain se poursuit en France. Selon FranceAgriMer, le taux de « bon à très bon » a en effet encore glissé de trois points la semaine dernière, à 75 % seu (...)
Haropa Port, le port fluvio-maritime de l'axe Seine, dresse un « bilan contrasté » de la campagne d’exportations 2024/25 et se prépare à une campagne 2025/26 prometteuse.
Un resserrement de l’offre russe a motivé un bond du blé, tandis que le maïs a échoué à grimper significativement malgré des ventes américaines en vive reprise.
Habituellement fiables, les estimations d’exportations d’huile de palme par la Malaisie le mois dernier ont cette fois été bien trop optimistes. Les inspecteurs de cargaisons locaux avaient en effet a (...)
Les prix du colza restent sous pression après une hausse surprise des stocks d’huile de palme en Malaisie le mois dernier.
Les prix du blé s’appuient sur l’affaiblissement de la parité eurodollar pour se redresser, malgré la concurrence des origines mer Noire.
Les surfaces de céréales bio poursuivent leur repli, et la chute de la collecte atteint environ 40 % sur la campagne de commercialisation 2024/25, amplifiée par les déconversions et la moisson 2024 di (...)
Des considérations techniques limitent les pertes du blé et du maïs, mais le soja reste sous pression.
La promesse de belles récoltes mondiales, avec en particulier des conditions « idylliques » pour le maïs américain en pleine floraison, la faible demande sur le marché international et l'incertitude s (...)
Le nouveau coup de chaud et le manque de précipitations attendus en France sont préoccupants. Les États-Unis et le bassin mer Noire profitent en revanche de conditions bien plus favorables.
La rapide avancée des moissons en France a cette année porté une frappe baissière particulièrement brutale aux cours du colza. Les retours de rendements ont en effet été très encourageants à mesure qu (...)
Les prix du colza continuent de se rétracter face aux moissons rassurantes en Europe et à la concurrence canadienne.
Les prix du blé profitent de considérations techniques et d’un affaiblissement de l’eurodollar, malgré un manque de compétitivité et une pression récolte encore lourde.
Les excellentes conditions de culture aux États-Unis ont encore fait plier les cours du maïs.
Pour l’AGPB, l’accord conclu entre l’Union européenne et l’Ukraine sur les importations de produits agricoles ukrainiens est « une avancée importante » qui devrait « limiter la pression sur les marché (...)
Profitant d’un climat toujours aussi idéal, les cultures de maïs aux États-Unis continuent d’afficher des conditions très prometteuses. Dans son dernier Crop Progress hebdomadaire, l’USDA a en effet e (...)
Les prix du colza profitent d’un regain du canola canadien pour repartir à la hausse.
Les prix du blé évoluent sur une note neutre à haussière malgré la rapide avancée des moissons dans l’hémisphère Nord, tandis que le maïs poursuit son retrait.
Les cours des céréales aux États-Unis subissent de nouveau l’imbroglio de la politique commerciale américaine.
L’UE a fixé à 100 000 tonnes le nouveau contingent de sucre ukrainien importable sans droits de douane sur le territoire européen, ce qui provoque la colère de la CGB.
Qu’est-ce qui fait varier les cours du blé ? Fondamentaux, géopolitique, météo, logistique… Avec quatre experts, nous décryptons en vidéo les éléments qui influencent les prix. Un éclairage pour mieux (...)
L’AGPB lance une enquête auprès des producteurs pour mesurer précisément l’évolution du prix des engrais depuis le 1er février 2025.
Après une fin de campagne 24/25 qui aura permis une petite reprise des exportations françaises de blé à l’international, la campagne 25/26 débute de nouveau dans un contexte de rapide regain de compét (...)
Les prix du colza évoluent en ordre dispersé face à la pression du canola canadien et des moissons en cours en Europe de l’Ouest.
Les cours du blé restent pénalisés par la pression des moissons dans l’hémisphère Nord.
Sans grande surprise, FranceAgriMer a encore réduit de trois points ses notations de maïs grain « bon à très bon » dans son dernier rapport hebdomadaire Céré’Obs, à 78 %, ce qui représente désormais l (...)
Le colza tente de se redresser, malgré la pression des récoltes et un canola canadien affaibli.
Les prix du blé cèdent de nouveau sous la pression des moissons. Le maïs recule également, malgré des conditions de cultures préoccupantes en France.
La production mondiale de céréales pourrait atteindre 2,925 millions de tonnes en 2025, un niveau record porté par les bonnes perspectives de rendement du maïs, du riz et du blé, selon un rapport de l (...)
Un accord « juste et ferme », avec les droits de douane « les plus bas possible » : Emmanuel Macron a appelé jeudi à clore au plus vite la guerre commerciale qui menace de faire rage entre les États-U (...)
Les cours du blé ont plié sous le poids du dollar Index. Le maïs et le soja ont en revanche profité de bonnes ventes pour se redresser.
Après un printemps marqué par un très net déficit hydrique, les cultures canadiennes ont débuté leur cycle de développement dans des conditions particulièrement préoccupantes. L’arrivée de l’été s’est (...)
Les cours du colza se contractent de nouveau sous le poids des moissons en Europe de l’Ouest.
Les prix du blé profitent d’une demande un peu plus soutenue et d’observations préoccupantes en Ukraine pour grimper.
