Marchés
Paris, 14 mai 2024 (AFP) - Devant la fragmentation du monde induite par les crises géopolitiques en cours, le marché des matières premières - industrielles ou agricoles - est condamné à « attendre et (...)

Le dernier rapport du MPOB (Malaysian Palm Oil Board) a confirmé la nette contraction des exportations malaisiennes le mois dernier, et révélé une reprise de la production du pays relativement dynamiq (...)
Le colza cède du terrain dans le sillage des huiles, tandis que les chantiers de semis de soja aux États-Unis progressent moins rapidement qu’anticipé.
Les prix du blé enregistrent un petit mouvement de retrait technique, dans un marché encore sous tension face aux conditions climatiques en Russie.

Le warrantage paysan, mis en place au Burkina Faso depuis 2005, offre une possible réponse aux défis de l’insécurité alimentaire dans les pays du Sahel en période de soudure. En échange d’un crédit, l (...)

Les risques de production en Russie continuent de pousser les prix du blé sur de nouveaux sommets.
Les prix du colza résistent à la pression du soja, après un rapport USDA baissier.
Le blé subit quelques pertes techniques, mais reste soutenu par le dernier rapport USDA.

L’USDA a livré vendredi dernier son rapport mensuel le plus observé de l’année, avec les premiers bilans concernant la nouvelle récolte (2024/25). Le rapport a d’ailleurs provoqué une rapide montée de (...)

Des énergéticiens espagnol et italien, un géant néerlandais de la bière, un négoce agricole français et un industriel allemand prévoient de construire en commun leur première usine d'engrais bas carbo (...)

L’annonce par l’USDA de stocks de fin de campagne 2024/25 sous les attentes du marché a fait bondir les prix du blé et du maïs en fin de semaine.
Le ministère américain de l'Agriculture (USDA) a publié vendredi ses toutes premières prévisions de récolte de céréales dans le monde pour la campagne à venir 2024/2025, avec notamment des projections (...)

Les quelques beaux jours de ce week-end du 8 mai devraient permettre une rapide accélération des chantiers de semis de maïs restant à réaliser. Avec seulement 54 % des travaux terminés au 6 mai dernie (...)

Les cours du blé repartent rapidement à la hausse en réaction aux craintes de production en Russie et dans l’attente du premier rapport USDA concernant la campagne 24/25.
La fermeté du soja et le climat défavorable en France tractent à nouveau le colza à la hausse.

Le coup de froid en Russie et des pluies encore excessives en France sont au centre des préoccupations.
Les prises de bénéfices et des cartes météo un peu plus favorables en Russie ont provoqué un retrait des prix.

Le Conseil international des céréales s’attend à une réduction des échanges mondiaux de maïs sur la campagne de commercialisation 2024/25, bridés par de moindres besoins en UE et en Chine, grands impo (...)

Des pics de hausse suivis de replis des cours : le retour de la volatilité sur le marché mondial des céréales est largement lié à des épisodes météorologiques adverses qui sèment le doute sur les rend (...)

Peu évoquées dans les commentaires de marché, nous alertions la semaine dernière sur les prévisions météo dans la Corn Belt. Le dernier Crop Progress de l’USDA a bel et bien confirmé un net ralentisse (...)
Le colza subit une pression technique, mais reste sous tension face aux conditions climatiques en France, au Brésil et dans la Corn Belt.
Les prix du blé accusent un retrait technique après leur flambée de la veille, mais les craintes liées au climat dans l’hémisphère Nord restent fortes.

Le manque de pluies et le coup de froid du week-end en Russie provoquent une flambée du blé américain.

La Russie a connu un nouvel épisode climatique critique ces derniers jours. Le district fédéral central et la Volga ont en effet subi des températures négatives ce dimanche, tandis que les cultures d’ (...)
Le colza reste ferme face aux conditions climatiques défavorables en Europe de l’Ouest.
Le blé évolue sur une tendance stable à baissière, dans un marché toutefois encore sous tension face aux conditions climatiques en France et en Russie.
Des pluies moins généreuses que prévues et une chute des températures en Russie motivent une vive montée des cours du blé.

La situation climatique en France ne montre aucun signe d’amélioration. Les cartes météo annoncent en effet des pluies intenses et élargies à l’ensemble du territoire (ainsi que sur une bonne partie d (...)
Des conditions climatiques difficiles au Brésil et en France motivent une nouvelle montée des prix.
Les conditions climatiques dans l’hémisphère Nord renvoient le blé au-dessus des 230 €/t.
Les prix des denrées alimentaires dans le monde ont augmenté pour le deuxième mois consécutif en avril, portés par la hausse des prix de la viande, des produits laitiers et des céréales, selon un rapp (...)

La météo en Russie fait monter de nouveau monter les prix du blé, tandis que soja bondit en réaction aux inondations au sud du Brésil.

Moteur principal des évolutions du marché ces dernières semaines, la météo en Russie reste au centre de toutes les attentions. Les pluies annoncées dans le Sud de la Russie ont en effet provoqué un dé (...)

Les cours du colza reprennent leur dynamique haussière face à des conditions climatiques encore peu favorables en Europe.
Le blé UE repart à la hausse, tandis que le marché reste attentif aux pluies annoncées en Russie.
Les pluies annoncées en Russie laissent le blé dans le rouge, tandis que le maïs et le soja s’offrent un rebond.

Le retour des pluies risque de dégrader un peu plus les potentiels de production en France. Les prévisions météo offrent par ailleurs peu de visibilité en Russie.
Le blé américain subit des pertes importantes face aux pluies dans le Midwest et en Russie.

Un coup de chaud en Russie, un temps sec au Kansas : les fluctuations des prix du blé et du maïs, qui ont brusquement grimpé avant de se stabiliser, sont essentiellement dictées par les prévisions mét (...)

« L’équilibre du marché du blé tendre reste directement lié aux productions et aux exportations russes et ukrainiennes », souligne Argus Media France. Si côté russe la sécheresse a dégradé les potenti (...)