27 février à 14h20 :
Les agriculteurs en difficulté vont pouvoir retarder d'un an le paiement de leur dette bancaire, rééchelonner leurs échéances et bénéficier de prêts à taux préférentiels, a annoncé mardi le ministre de l'Economie Bruno Le Maire à l'issue d'une réunion avec le secteur bancaire et au lendemain de sa visite du Salon de l'agriculture.
27 février à 8h50 : Gabriel Attal à son tour au Salon de l'agriculture
« C'est très important de se parler », a redit le Premier ministre, peu après son arrivée vers 07h00, à un éleveur qui lui confiait « attendre beaucoup » de l'exécutif pour sa profession.
Après un passage dans la salle de traite des vaches et sur RTL, le chef du gouvernement doit ensuite rencontrer hors presse les syndicats agricoles et petit-déjeuner avec les filières professionnelles, avant d'admirer comme de coutume la vache égérie Oreillette et déambuler toute la journée à travers les stands des différents halls.
26 février à 18h27 :
Mesures annoncées par Emmanuel Macron au #SIA2024 : c'est quoi la suite ?
Après Emmanuel Macron samedi - dans une ambiance tendue jamais vue - et Gabriel Attal dimanche soir, Bruno Le Maire a, à son tour arpenté les allées du salon lundi 26. Il a détaillé la suite à venir pour plancher sur les mesures annoncées par le chef de l'Etat deux jours plus tôt.
Ce mardi se tient à Bercy autour des ministres de l'Economie et de l'Agriculture, Bruno Le Maire et Marc Fesneau, une nouvelle réunion « sur les plans de trésorerie des agriculteurs et la manière de les aider », avec le fisc, les banques, les assureurs et la mutualité sociale agricole.
Le chef de l'Etat « a demandé un recensement départemental » de « toutes les exploitations en difficulté » nécessitant un accompagnement « en matière de trésorerie », selon son entourage. Et il a décidé la mise en place, pendant les deux prochains mois, d'une permanence dans chaque sous-préfecture pour « résoudre les situations individuelles en lien avec les différents services de l'État et les opérateurs ».
Lors de sa visite, Bruno Le Maire a appelé banques et assurances à « faire des propositions plus ambitieuses de façon à ce que nos paysans puissent avoir accès plus facilement à des crédits, à des taux qui soient les plus attractifs possibles ».
Ce soutien à la trésorerie des exploitations prévoit également la mise à disposition à partir du 1er juillet d'une garantie de l'Etat à hauteur de deux milliards d'euros aux prêts contractés par des agriculteurs.
Bruno Le Maire a aussi prôné un élargissement du champ d'application de la loi Egalim et plaidé pour davantage de simplification, appelant notamment à « en finir » avec les formulaires Cerfa.
Enfin, sur les prix plancher, Emmanuel Macron « a demandé à Bercy de lancer un chantier (...) avec l'ensemble des organisations professionnelles agricoles », en vue du futur projet de loi que le Premier ministre Gabriel Attal a promis de présenter d'ici l'été sur le revenu des agriculteurs.
26 février à 15h15 :
Apportant sa pierre à la résolution de la crise, la Coopération agricole propose 50 mesures destinées à renforcer la compétitivité de l’agriculture française.
26 février à 14 h :
Emmanuel Macron a demandé lundi à plusieurs ministres réunis pour le suivi de la crise agricole une « mobilisation totale » pour « renforcer » le secteur sans relâcher les « efforts environnementaux »
26 février à 11h30
Le gouvernement compte, dans sa nouvelle loi agricole, « faciliter » l'installation de réserves d'eau pour l'agriculture, a indiqué lundi la ministre déléguée à l'agriculture et à la souveraineté alimentaire, Agnès Pannier-Runacher.
25 février à 21 h
Gabriel Attal s'est invité dimanche soir au Salon de l'agriculture au lendemain d'une inauguration chaotique par Emmanuel Macron et de la visite dimanche du leader du Rassemblement national, Jordan Bardella.
25 février à 18:01
Le commissaire à l'Agriculture Janusz Wojciechowski en visite au Salon de l'agriculture à Paris dimanche.
25 février à 15:02
Malgré la grande disparité des situations et des modèles agricoles de ce pays, la colère globale exprimée par les agriculteurs depuis fin janvier 2024 est la preuve que les limites sont dépassées, à commencer par celle de la résistance physique et psychologique.
24 février à 19:42
Que retenir de la visite inaugurale d’Emmanuel Macron ? Un « coup d’épée dans l’eau », selon Damien Greffin, président de la FDSEA d’Ile-de-France. « Il continue de nous manipuler » fustige quant à elle Véronique Le Floch, la présidente de la Coordination rurale
24 février à 18:09
Une dizaine d'agriculteurs de la Coordination rurale sont toujours encerclés par des agents de sécurité au sein du hall 4.
24 février à 18:02
Selon Damien Greffin, président de la FDSEA d'Ile-de-France, « personne n’est satisfait. Ce salon, c’est un coup d’épée dans l’eau. On n’a pas du tout avancé sur les sujets alors que le salon devait être un point d’étape. Plus tôt il sera parti, mieux ce sera pour le salon et les visiteurs… ».
24 février à 17:28
Après le hall 1 fermé toute la matinée, ça fait maintenant 3 h que le hall 4 est verrouillé par les services d'ordre. Aucun visiteur ne peut y entrer, seuls ceux qui souhaitent en sortir peuvent le faire.
L'ambiance y est très calme, et les allées parsemées. Seul un groupe d'agriculteurs de la Coordination rurale, dont le stand se situe, comme tous les syndicats, dans ce hall 4, s'échauffe un peu devant des cordons de sécurité qui les encadrent.
24 février à 16:50
Pause pour Emmanuel Macron qui se restaure au niveau de la mezzanine du hall 4. Un hall dont les entrées sont filtrées depuis plus d'une heure pour anticiper la reprise de sa visite.
Selon Franck Sander, le président de la CGB, Emmanuel Macron va se casser le nez à son passage de l'interprofession céréalière. Ses représentants ont décidé de fermer leur stand avant l'arrivée du Président. Aucun élu professionnel ne sera là pour l'accueillir, en signe de mécontentement.
24 février à 15:06
Emmanuel Macron a donné rendez-vous aux représentants syndicaux dans trois semaines, pour faire un nouveau point sur l'avancée des réponses apportées par le Gouvernement.
24 février à 14:50
Lors de son échange de deux heures avec une poignées d'agriculteurs de la FNSEA, de Jeunes agriculteurs et de la Coordination rurale, Emmanuel Macron leur a répété que le Gouvernement avait déjà pris 62 engagements en réponse au mouvement de colère. Il a fait plusieurs annonces, dont la création d'un « prix plancher » pour mieux rémunérer les agriculteurs, un recensement des exploitations nécessitant des aides de trésorerie d'urgence, et l'inscription dans la loi que l'agriculture et l'alimentation était « un intérêt général majeur de la nation française ».
« Poser le mot sur le concept de prix plancher est déjà une petite révolution », a salué auprès de l'AFP la porte-parole de la Confédération paysanne, syndicat opposé à l'agriculture intensive, Laurence Marandola.
« Après, ce prix plancher va être construit par filière, du coup ça va être tiraillé entre producteurs et l'aval. On fera attention. » Quant à l'intérêt général majeur de l'agriculture, une source au sein de l'exécutif a ensuite simplement expliqué que cela voulait dire « reconnaissance de l'intérêt stratégique » du secteur, ce qui « emporte des conséquences juridiques ». C'était une revendication de la FNSEA, qui pourrait par exemple déclarer « d'intérêt général majeur » les réserves d'eau pour l'irrigation.
« Le fait qu'il n'y ait pas eu un mot sur le plan élevage est très préoccupant. On reste sur notre faim », a en revanche dit à l'AFP ensuite Patrick Bénézit, président de la fédération nationale bovine.
24 février à 14h40
Ambiance : Emmanuel Macron est protégé par des dizaines de CRS équipés de boucliers qui, dans des heurts violents, repoussent régulièrement les manifestants à une cinquantaine de mètres de lui. De nombreux l'ont traité de « fumier » ou « menteur », crié « barre-toi » ou appelé à sa démission.
24 février à 14:20
Aux forceps, et après une séquence de deux heures avec des représentants agricoles Emmanuel Macron parvient tout de même à « déambuler » dans un hall 1, quadrillé par les agents de sécurité et les CRS. De nombreux agriculteurs en colère, qui sifflent sans discontinuer, tentent sans succès de l'approcher.
24 février à 13:26 : Prix planchers ? La bonne idée ?
Annonce majeure d'Emmanuel Macron au salon, l'instauration de prix planchers filière par filière divise. La confédération paysanne, qui revendique cette solution depuis longtemps, s'est félicitée de cette avancée. Mais certains spécialistes s'interrogent.
Avancée de la Confédération paysanne ! @EmmanuelMacron a annoncé des prix planchers, mesure structurante revendiquée par notre syndicat. Il faudra obligatoirement l'assortir d'outils de régulation des marchés et que ça concerne toutes les filières. #revenupaysan #StopALE pic.twitter.com/bUJb7RNiCY
— Conf' Paysanne (@ConfPaysanne) February 24, 2024
Un prix plancher garantit un prix, un bout de papier quoi.
— Philippe Goetzmann (@pgoetzmann) February 24, 2024
Ca n'a jamais garanti un volume, ce qui fait le CA: Prix * Volume.
Un prix plancher quand on n'est pas compétitif c'est la garantie de la chute des volumes.
Donc au choix:
- La fin de l'agriculture. Peut-être une façon de…
Et si les prix planchers étaient une fausse bonne idée, un étau diabolique
— JEAN-MARIE SERONIE (@jmseronie) February 24, 2024
Hyp 1 prix très bas. Filet de sécurité en cas de grave crise... C est sans doute OK mais alors hurlements au scandale de certains
1/3 https://t.co/D3qAlhqMPD
24 février à 12:58
Prix planchers, plan d'urgence trésorerie... Retrouvez les détails sur les annonces d'Emmanuel Macron à l'occasion des échanges avec les agriculteurs.
24 février à 10:50
C'est du jamais vu pour un premier jour inaugural du salon de l'agriculture : après l'erreur du grand débat proposé par l'Elysée, Emmanuel Macron s'est d'abord entretenu avec les leaders syndicaux avant 9h, dans un salon du premier étage du hall 1, celui des animaux.
Dans ce hall 1, des agriculteurs en colère ont tenté de forcer les services d'ordre pour approcher le chef de l'Etat, dans une ambiance très tendue.
Les portes du salon n'ont pas ouvert comme prévu à 9h, laissant des milliers de visiteurs à l'extérieur. A 11h, la situation n'avait guère évolué, malgré l'information de l'organisateur indiquant que le salon ouvrait ses portes.
24 février à 10:50
Distorsions de concurrence, suicides, contrôles, aides à l'installation, compétitivité, les délégations d’agriculteurs évoquent avec Emmanuel Macron les sujets qui pèsent sur le monde agricole, face à un chef de l’Etat qui défend le travail en cours tout en s’engageant « à aller au-delà » avec les syndicats rencontrés plus tôt dans la matinée. Il a notamment évoqué le sujet des « prix planchers « pour mieux protéger les revenus des agriculteurs.
« Je préfère toujours le dialogue à la confrontation (...) La confrontation, ça ne produit rien », a asséné le chef de l'Etat. « Je suis en train de vous dire que le boulot est fait sur le terrain, on a repris les copies, on est en train de faire toute la simplification », a-t-il déclaré devant des représentants de trois syndicats, FNSEA, Jeunes agriculteurs et Coordination rurale, notamment.
— BFMTV (@BFMTV) February 24, 2024
24 février à 10:25
24 février à 10:07
« C'est un moment de fierté, de reconnaissance et donc il faut que ce Salon se passe bien, dans le calme pour l'agriculture française », a déclaré le chef de l'Etat, constatant également qu'« on ne répondra pas en quelques heures à cette crise agricole ».
Il était initialement prévu qu'Emmanuel Macron, qui a échangé une heure durant avec les syndicats, déambule ensuite dans les allées du salon, dont l'ouverture au public a été retardée. Le président a indiqué qu'il s'entretiendrait avec les organisateurs avant de décider de la suite de son programme.
C’est avec retard que la 60ème édition du #SIA2024 ouvre ses portes.
— Salon International de l'Agriculture (@Salondelagri) February 24, 2024
Elle accueille le public dans tous les pavillons à l’exception du 1 qui ouvrira ultérieurement en fonction de la situation.
Toute l’équipe d’organisation vous souhaite une bonne ouverture. pic.twitter.com/3LmYBC4zpm
« Vous entendez les énervements dès ce matin et je le dis pour tous les agriculteurs : vous venez aider aucun de vos collègues en cassant des stands. Vous n'aidez aucun de vos collègues en rendant le salon impossible et en quelque sorte en faisant peur aux familles », a-t-il fait valoir.
24 février à 9:50
« Tout est bloqué pour que le président se balade dans le Salon, comme si de rien n'était », déclare Patrick Legras, porte-parole de la Coordination rurale.
Le #SalonDeLagriculture pris en otage par le chef de l'état @FNSEA @coordinationrur pic.twitter.com/AMwW1AeV1q
— Arnaud Carpon (@ArnoCarpon) February 24, 2024
24 février à 9:35
Emmanuel Macron s'exprime devant la presse. Sur l'évolution de la loi Egalim, il explique qu'il fallait se diriger vers des prix planchers.
Pendant ce temps, les portes du salon restent fermées, des CRS sont venus renforcer les grilles d'accès.
24 février à 9:23
Les organisateurs du Salon de l'agriculture ont indiqué à l'AFP qu'ils espéraient ouvrir partiellement les portes au public ce samedi, une décision encore suspendue à l'évolution de la situation sur place.
Ils envisagent que des « endroits restent inaccessibles » au public, en particulier le pavillon 1 - celui des vaches, moutons, cochons et chèvres - où ont convergé des centaines d'agriculteurs avant l'ouverture officielle de l'évènement.
Les organisateurs du #SIA2024 vous informent que dans le contexte actuel, les conditions ne sont pas réunies pour ouvrir les portes du Salon aux visiteurs sereinement.
— Salon International de l'Agriculture (@Salondelagri) February 24, 2024
La décision est prise de retarder l’ouverture de la 60ème édition du Salon International de l’Agriculture. pic.twitter.com/ZMgheZiB4z
24 février à 9:15
Signe d'un climat particulièrement tendu, les portes du Sia ne sont toujours pas ouvertes au public à 9h15. C'est la première fois que cela arrive.
24 février 8:35
Le président est arrivé autour de 08h00 au Salon pour y rencontrer des syndicats de la profession, après plusieurs semaines de crise agricole. Au même moment, des manifestants, certains munis de sifflets, se sont précipités dans l'entrée principale où des heurts se sont produits avec le service d'ordre.
« Macron démission » et « rendez-le », criaient les manifestants à l'intérieur du parc des expositions de la Porte de Versailles. Des empoignades ont eu lieu entre la sécurité et des manifestants portant des signes distinctifs de trois syndicats, FNSEA, Jeunes agriculteurs et Coordination rurale, au moment où le chef de l'Etat commençait à s'entretenir avec des responsables syndicaux à proximité. Emmanuel Macron doit s'exprimer devant la presse après son petit-déjeuner.
Le président du syndicat majoritaire FNSEA a déclaré, un peu plus tôt samedi matin, vouloir « écouter ce que le président a à nous dire » en ce premier jour du Salon de l'Agriculture « dans une forme de respect du cadre », même « si ça risque parfois d'être un peu tendu ».
24 février 7:53
Le service de sécurité aux entrées du salon est encore plus imposant que les années précédentes. L'organisation du salon a expliqué hier qu'il avait renforcé de 30 % ses effectifs pour assurer la sécurité des visiteurs. Côté Elysée, plus de 300 agents de sécurité en civils seront autour du Président pendant sa déambulation.
24 février à 7:12
Finalement, la visite du chef de l'État sera finalement sur un format classique : Emmanuel Macron doit arriver vers 7h50 Porte de Versailles pour y rencontrer à huis clos les représentants des syndicats agricoles. Il coupera ensuite le ruban d'inauguration à 9h avant de déambuler dans les allées.
Un comité d'accueil d'agriculteurs a dormi devant le Salon de l'agriculture.
23 février à 21:55
Le président Emmanuel Macron a annulé vendredi le grand débat qu'il avait imaginé samedi dans l'enceinte du Salon de l'agriculture, mais a proposé aux syndicats agricoles de les voir, avant une visite qui s'annonce mouvementée.
23 février à 18:03
Dernier « coup de pression » à la veille du Salon de l'agriculture : vendredi, des agriculteurs manifestent dans Paris, regrettant une « rupture de confiance » avec Emmanuel Macron...
23 février à 14:05
Furieux après l'erreur « cynique » de l'Élysée, les agriculteurs attendent Macron
Sous pression des agriculteurs, encore inassouvis par les promesses et actes du gouvernement, Emmanuel Macron s'apprête à visiter le Salon de l'Agriculture dans un climat très tendu samedi 24 février après avoir voulu inviter les Soulèvements de la Terre à un « grand débat » avec le monde agricole, suscitant la colère des syndicats. Arnaud Rousseau, le président de la FNSEA, a annoncé ce vendredi matin qu'il n'y participerait pas.
22 février 2024 à 17:50
Macron va participer à un grand débat avec le monde agricole samedi : Emmanuel Macron va participer à un grand débat avec « l'ensemble des acteurs du monde agricole », agriculteurs, industriels, grande distribution et ONG, samedi au Salon de l'agriculture, « pour esquisser l'avenir » de la filière, a annoncé jeudi l'Elysée.
22 février 2024 à 16:28
Des tables rondes à suivre en direct depuis le salon de l’agriculture
Terre-net a noué un partenariat avec InVivo le temps du Salon de l’agriculture. A partir de lundi 26 février et pendant 5 jours, visionnez en direct les émissions organisées par les différents métiers du groupe coopératif. Au programme, des échanges entre experts, politiques, agriculteurs…
Retrouvez le programme des débats et émissions du plateau Terre-net/In Vivo
21 février 2024 à 18:55
« On n'a pas été entendus » : les actions d'agriculteurs continuent
21 février 2024 à 16:49
Comment le Sia est devenu un rendez-vous politique incontournable
De Jacques Chirac, qui se vantait « de savoir tâter le cul des vaches », aux journées marathon d'Emmanuel Macron, le Salon de l'agriculture est devenu un passage obligé pour les politiques, qui profitent de l'événement pour tenter de flatter l'électorat rural.
16 février 2024 à 18:04
Et vous ? Que pensez-vous du salon international de l'agriculture ? Nous avons posé la question aux lecteurs de Terre-net pendant une semaine. Et la réponse est assez nette : Pour 75 % des agriculteurs, le Sia « ne sert à rien » et est « trop décalé par rapport à la réalité du terrain ».
Pour certains, même, cette « vitrine bucolique » relève de « l’indécence » face à la situation catastrophique de nombreuses fermes. Ambiance en perspective...
9 février 2024 à 09:50
Colère des agriculteurs : Le compte à rebours est lancé avant le Salon de l'agriculture
