Les articles concernant les marchés agricoles : céréales (blé, maïs, orge), oléagineux (colza, soja, tournesol), protéagineux, huiles et intrants (engrais, phytos, semences). Ils traitent du commerce et des échanges de produits agricoles en France, en Europe et dans le monde. Ils éclairent sur les tendances de prix, liées à l’équilibre entre offre et demande mais aussi aux aléas climatiques, à la géopolitique ou encore aux coûts de l’énergie.

Le colza se stabilise sur les 440 €/t

Le colza tente de se stabiliser après sa rapide baisse enregistrée lors des précédentes séances.

Le blé UE en léger retrait vers les 245 €/t

La concurrence russe et une météo américaine rassurante maintiennent les prix dans le rouge.
La moisson ukrainienne de blé atteignait 8,1 Mt fin juillet.
Les agriculteurs ukrainiens ont jusqu’ici battu 11 Mt de céréales et 2,5 Mt d’oléagineux, soit environ 25 % de la récolte attendue. Et tandis que les exports via la mer Noire sont bloqués depuis le 17 (...)

Le blé chute encore de 5 % à Chicago

La météo US plus favorable et la concurrence russe maintiennent les prix américains dans une spirale baissière.

Le colza Euronext décroche de 15 €/t

A la mi-journée, ce 31 juillet, le colza Euronext à terme novembre 2023 baissait de 15,5 €/t, à 443,25 €/t.
Le colza enregistre encore de nettes pertes dans le sillage soja US et de l’huile de palme.

Le blé UE de retour sous les 250 €/t

Un climat plus favorable aux US et l’affaiblissement des primes de risque liées à la situation en mer Noire renvoient les prix à la baisse.

Les céréales américaines encore dans le rouge

Une météo plus favorable et un crop tour rassurant dans le Dakota ont maintenu les prix US dans le rouge.

Le colza perd encore 10 €/t sur Euronext

Le colza poursuit son rapide retrait dans le sillage du canola canadien et du soja US.

Le blé UE s’enfonce sous les 250 €/t

Un climat plus favorable de part et d’autre de l’Atlantique et des conditions de culture encourageantes en Argentine tirent les prix à la baisse.
Le mouvement de retrait se poursuit à Chicago malgré les tensions en mer Noire et des ventes à l'international dans les attentes.

Le Midwest frappé par des températures extrêmes

Le Midwest américain subit une nouvelle canicule critique.
Dans un marché particulièrement secoué par les évènements en mer Noire, la météo américaine reste tout de même au centre des attentions et demeure un moteur central des évolutions des cours. Le Midwes (...)

Le colza se replie sous les 475 €/t

Le colza conserve une légère dynamique baissière face à un complexe oléagineux encore indécis.

Le blé et le maïs en ordre dispersé sur Euronext

Le blé hésite encore après son décrochage de la veille dans un contexte encore très tendu en Ukraine.
L'Otan a condamné mercredi l'attitude « dangereuse » de la Russie en mer Noire et ses tentatives pour bloquer les exportations de céréales ukrainiennes, à l'issue d'une réunion d'urgence avec Kiev.
Le retour des pluies devrait profiter aux cultures de printemps en France.
Le retour des pluies et d’un temps frais devrait profiter aux cultures de printemps et aux premiers semis de colza.

Le blé dévisse de 5 % à Chicago

Le marché décroche après un crop tour et des cartes météo rassurantes aux US. Le marché amoindrit par ailleurs sa prime de risque face à la situation en mer Noire.
Les tensions encore à venir entre ukrainiens et russes autour de la mer Noire et les infrastructures portuaires ukrainiennes animent à la hausse des marchés des céréales ces derniers jours.
Avec les bombardements, tant russes qu'ukrainiens, visant des infrastructures portuaires en mer Noire, cette « semaine d'escalade » a fait grimper les cours du blé et du maïs sur les marchés, attentif (...)

Le colza retombe sur les 475 €/t

Le colza poursuit son mouvement de retrait face à une météo US plus favorable.
Les céréales poursuivent leur retrait face à des nouvelles plus rassurantes en mer noire.
Le marché américain a légèrement consolidé, dans un marché toutefois encore préoccupé par la situation en mer Noire.
Pour éviter la saturation des corridors existants, la Lituanie propose de recourir aux ports des États baltes, d'une capacité annuelle combinée de 25 Mt pour les grains.
L'Union européenne veut muscler et subventionner ses voies d'acheminement des céréales ukrainiennes vers le reste du monde après la fin du transit via la mer Noire, mais se déchire toujours sur les re (...)
La production mondiale de blé devrait refluer à 784 millions de tonnes : un repli de 2,4 % par rapport à l'année dernière.
La récolte mondiale de céréales s'annonce à un niveau record pour 2023-2024, avec des productions en hausse pour le maïs et le riz, dans un marché toutefois tendu, attentif à l'influence d'El Niño et (...)
La France et l'Allemagne se sont opposées mardi à une possible prolongation des restrictions imposées depuis avril par cinq pays de l'Est sur les importations de céréales ukrainiennes, dont l'UE cherc (...)

Le colza perd 10 €/t sur Euronext

Le colza retombe en territoire négatif malgré les risques en mer Noire et une météo encore préoccupante en Amérique du Nord.

Le blé consolide de 5 €/t sur Euronext

Le blé accuse un retrait technique appuyé dans un marché encore sous tension face à l’escalade du conflit en Ukraine.

Le prix du blé au plus haut depuis fin mars

La Russie a attaqué les ports fluviaux ukrainiens de Reni et Izmail, sur le Danube, qui constituent la principale voie alternative au port d'Odessa pour l'exportation de céréales.
+ 38,5 €/t pour le rendu Rouen en 12 jours, + 35 €/t sur l’échéance septembre 2023 du marché à terme durant la même période : le cours du blé s’envole en réaction aux attaques militaires contre des in (...)
Le président Volodymyr Zelensky a jugé lundi « inacceptable » l'éventualité d'une prolongation des restrictions à l'exportation des céréales ukrainiennes au sein de l'UE, comme le réclament cinq pays (...)
Le gouvernement lituanien a appelé lundi l'Union européenne à davantage tenir compte des capacités des États baltes pour soutenir les exportations de céréales ukrainiennes, après le récent retrait de (...)
Les frappes russes sur les infrastructures portuaires ukrainiennes sur le Danube ont provoqué une nouvelle flambée des prix.
Le Conseil Ukraine-Otan va se réunir pour travailler au déblocage des exportations ukrainiennes en mer Noire.
L’Otan et l’Ukraine vont se réunir cette semaine pour discuter de l’avenir des exportations agricoles ukrainiennes en mer Noire, alors que la Russie s’est retirée la semaine dernière de l’accord qui p (...)
Le cours du blé a fortement grimpé ce lundi 24 juillet.
La Russie élargie ses frappes aux infrastructures portuaires du Danube, tandis qu’un climat sec et chaud frappe à nouveau le Midwest.
Le colza retrouve rapidement le chemin de la hausse après des frappes russes sur les infrastructures portuaires du Danube.

La consolidation se poursuit à Chicago

Les cotations américaines subissent des prises de bénéfices dans un marché encore sous haute tension.
Peu avant 14h, vendredi 21 juillet, le colza Euronext à terme novembre 2023 se relâchait de 14,50 €/t, à 490,25 €/t. L’échéance août 2023 diminuait de 16,50 €/t, à 481,25 €/t.
Le colza retombe sous les 500 €/t sous le poids des prises de bénéfices malgré les tensions en mer Noire.
Les prix des céréales subissent des prises de bénéfices dans un contexte encore très tendu en mer Noire.

Chicago consolide après sa flambée de la veille

Le marché américain marque une pause dans un contexte toutefois encore extrêmement tendu en mer Noire.

Le blé UE hésite devant les 260 €/t

Les céréales évoluent de manière hésitante au lendemain d’une séance marquée par une rapide envolée des prix.
Après leur envolée mercredi, les cours du colza poursuivent leur ascension au-dessus des 500 €/t.
Le colza amplifie légèrement ses gains en réaction aux attaques russes sur les ports ukrainiens et un climat encore critique en Amérique du Nord.

La Chine diversifie ses approvisionnements de maïs

La Chine a ouvert son marché aux maïs brésiliens, et en a importé 2,2 Mt sur la campagne 2022/23.
En 2022/23, la Chine s'est notamment tournée vers le Brésil pour importer du maïs, et non plus seulement chez ses fournisseurs habituels : les États-Unis et l'Ukraine.
Les menaces russes à l’encontre des navires à destination de l’Ukraine et la météo aux US ont provoqué un bond des cotations américaines.
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