Les articles concernant les marchés agricoles : céréales (blé, maïs, orge), oléagineux (colza, soja, tournesol), protéagineux, huiles et intrants (engrais, phytos, semences). Ils traitent du commerce et des échanges de produits agricoles en France, en Europe et dans le monde. Ils éclairent sur les tendances de prix, liées à l’équilibre entre offre et demande mais aussi aux aléas climatiques, à la géopolitique ou encore aux coûts de l’énergie.

Le colza perd encore 5 €/t sur Euronext

Les prix du colza repartent rapidement à la baisse, pénalisés par le complexe soja et les craintes concernant l’économie chinoise.
Les prix du blé et du maïs creusent rapidement leurs pertes face à une demande très discrète.
La perspective de récoltes abondantes pèse sur les cours du blé.
Les cours des céréales sont toujours à la recherche d'un plancher, après être descendus à un nouveau plus bas en début de semaine, mais le marché reste lesté par la perspective d'une récolte abondante (...)
Les céréaliers français veulent voir réinstaurer des droits de douanes au-delà d'un quota d'importations d'Ukraine, se disant mercredi « extrêmement déçus » de voir les céréales exclues des produits « (...)

Le blé US retombe lourdement sous les 6 $/bu

Une demande mondiale en retrait renvoie le blé américain dans le rouge.
Un climat doux et ensoleillé s'installe en France.
Les conditions hydriques des sols se normalisent en France, tandis que la Russie profite de conditions idéales. Le coup de chaud en Amérique du Sud suscite en revanche quelques inquiétudes.
Les cours du colza s’enfoncent encore sous la pression du complexe soja.

Le blé recule sous les 215 €/t

Le blé et le maïs enregistrent de nouvelles pertes face à une demande absente.

Une production mondiale de maïs sans précédent

Dans son rapport du 11 janvier, le CIC estime à 1 230 Mt la production mondiale de maïs sur 2023/24 et à 1 218 Mt la consommation : deux records.
L’offre mondiale de maïs sur 2023/24, abondante et compétitive, devrait mener à un pic de consommation sur cette campagne. L’utilisation du grain jaune en alimentation animale devrait particulièrement (...)

Le blé US bondit de 2 % pour retrouver les 6 $/bu

Les céréales américaines rebondissent vivement sur fond de considérations techniques.
Le ministre de l'économie Bruno Le Maire a promis mercredi que la France s'engagerait dans un « bras de fer » lors des négociations à Bruxelles pour que l'accord UE-Mercosur (Brésil, Argentine, Urugua (...)
En décembre 2023, FranceAgriMer a relevé de 30 000 t son estimation de l’utilisation d’orge par l’industrie maltière française sur 2023/24.
À l’approche des Jeux olympiques et paralympiques de 2024, FranceAgriMer s’attend à une hausse de l’utilisation d’orge par les malteries françaises, et à une baisse des exportations de malt. Côté blé (...)

Le colza s’enfonce vers les 420 €/t

La pression du complexe soja continue de pousser les prix du colza à la baisse.
Les conditions d'un accord entre le Mercosur et l'UE « ne sont pas réunies », a reconnu mardi la Commission européenne, en pleine crise du monde agricole, particulièrement en France, mais les négociat (...)

Le blé recule en direction des 210 €/t

Une demande en retrait et une concurrence internationale agressive poussent les prix des céréales sur leur plus bas de campagne.
Les agriculteurs dénoncent le projet d'accord avec le Mercosur (Brésil, Argentine, Uruguay, Paraguay), mais aussi  l'accord avec le Canada (Ceta), la Nouvelle-Zélande et l'Australie.
Un moratoire sur les accords de libre-échange figure au premier rang des demandes des syndicats agricoles français qui y voient une concurrence déloyale, même si certains pans de l'agriculture peuvent (...)

Le blé US retombe sous les 6 $/bu à Chicago

Le manque de demande et la concurrence internationale font plier Chicago.
Des tonnes de fruits et légumes déversés sur la chaussée dans la Drôme ou le Gard, des denrées importées sorties d'un supermarché dans le Lot-et-Garonne : la « concurrence déloyale » dénoncée par les (...)
Un complexe soja déprimé renvoie à nouveau le colza sous les 430 €/t.

Le blé se replie sous les 215 €/t

Les cours du blé restent enfermés dans une tendance baissière face à une demande morose et à la concurrence russe.
La concurrence sud-américaine et une demande internationale en retrait ont à nouveau plombé les cotations US.

Le colza tente un rebond au-dessus des 430 €/t

Les cours du colza entament un petit rebond dans le sillage de l’huile de palme, mais sont de nouveau freinés par le repli du soja.

Le blé recule vers les 215 €/t

Le blé perd du terrain dans un marché peu actif, tandis que le maïs recule sous la pression des origines sud-américaines.
Le député LR Antoine Vermorel-Marques (Loire) a déposé une proposition de loi pour interdire l'importation de produits agricoles qui ne respectent pas les normes imposées en France aux agriculteurs, i (...)
Les perspectives d’évolution de la production brésilienne et l’écart de compétitivité entre le maïs brésilien et le maïs européen laissent craindre d'ici à 2030 un doublement des imports européens de maïs brésilien au détriment de la production
européenne de maïs, alerte l'AGPM.
L’Association générale des producteurs de maïs condamne l’accord entre l’Union européenne et le Mercosur et propose cinq mesures « pour aligner la politique commerciale de l’UE sur les objectifs qu’el (...)
Les céréales et le soja US ont subi la pression d’un renforcement du dollar à l’international.

Circuits courts : pourquoi/comment innover

Des méthodes existent pour aider les producteurs en circuits courts à innover.
Se différencier pour gagner de nouveaux clients et marchés, dégager davantage de valeur ajoutée… Selon Morgane Talidec, conseillère « circuits courts » à la chambre d’agriculture du Morbihan, les béné (...)
Les prix du blé et du maïs échouent à se relancer malgré la bonne dynamique constatée sur le Chicago Board of Trade.

Le colza poursuit son retrait vers les 430 €/t

Les prix du colza enregistrent un léger retrait malgré une progression du complexe soja et des cours du brut.
La gauche, par la voix de François Ruffin, Jean-Luc Mélenchon ou Marie Toussaint, a continué à cibler jeudi les accords de libre-échange économiques pour tenter d'apporter des réponses à la colère des (...)

Le blé US bondit de plus de 2 %

Les cotations américaines accélèrent à la hausse après un affaiblissement du dollar et face à la montée des températures en Argentine.

Les cours des céréales retrouvent de la vigueur

Ces derniers jours, le prix du blé se stabilise, aussi bien côté américain qu'européen
Les cours des céréales se sont raffermis ces derniers jours, après des semaines de déprime, aidés par l'essoufflement de la vague spéculative à la baisse, mais le rebond reste fragile (article mis à j (...)
Un climat sec et anormalement doux revient s'installer en Europe de l'Ouest.
Les conditions météo montrent des signes d’amélioration notables en Europe de l’Ouest.
Les basses eaux dans le canal de Panama et les attaques en mer Rouge provoquent des reroutages de navires, ce qui implique des trajets plus longs et des coûts logistiques accrus.
Le contexte climatique et géopolitique dans plusieurs zones du monde provoque des tensions sur le transport maritime de produits agricoles.

Le colza UE consolide de 1,50 €/t

Les prix du colza accusent un léger retrait technique mais reste soutenus par un secteur des huiles sous tension.

Le blé UE se stabilise sur les 217 €/t

Les prix du blé restent stables sur le marché européen malgré un blé US qui poursuit sa reprise à Chicago.

Le blé US manque son rebond au-dessus des 6 $/bu

Les cours du blé ont débuté la semaine sur une belle note haussière avant de rendre ses gains sous la pression d’un renforcement du dollar.

Le colza se redresse de près de 4 €/t

Le colza profite de la reprise technique du soja pour reprendre son rebond.

Le blé et le maïs UE entament un rebond timide

Le blé et le maïs évoluent sur une tendance stable à haussière, partagés entre la concurrence internationale et une demande un peu plus dynamique.
Charbon, nickel, maïs : les cours mondiaux des matières premières industrielles et agricoles devraient continuer de baisser en 2024, à l'exception notamment de l'uranium, du cuivre, de l'aluminium, ou (...)
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