Marchés
La concurrence mer Noire et des potentiels de production élevés en Europe renvoient les céréales à la baisse.
Le Coceral estime à 303,5 Mt la prochaine récolte céréalière de l'UE, soit presque 13 Mt de plus que l'an dernier. De fait, la production de maïs devrait se reprendre à l'échelle communautaire (mais p (...)
Le marché américain décline avant la publication de rapports USDA très attendus.
L’origine ukrainienne n’est pas la seule à s’être imposée massivement en Europe sur la campagne 22/23. Depuis le 1er juillet dernier, 7,8 Mt de maïs brésiliens sont en effet entrées sur le marché comm (...)
La reprise des cours du brut et des discussions concernant la régulation des flux en provenance de mer Noire motivent une nouvelle montée du colza.
Les céréales gagnent en tension face à de potentielles restrictions à l’export en Russie.
Les rumeurs de contrôle des exports russes et une forte demande pour le maïs US tirent Chicago à la hausse.
Déprimés par la crise bancaire et la reconduction de l'accord sur les exportations ukrainiennes, les cours du blé ont fini par rebondir ces derniers jours, stimulés par la stabilisation du système fin (...)
La France enregistre des cumuls de pluies significatifs, mais la situation hydrique des sols reste sous surveillance. Les pluies continuent à l’inverse de gêner les travaux au Brésil.
Ces derniers jours ont été marqués par un rapide rebond des prix du blé, motivé principalement par des rumeurs de restrictions à l’export en provenance de Russie. Le pays pourrait également augmenter (...)
Le colza reprend sa hausse dans le sillage des cours du brut et du complexe soja.
Le retrait de l’origine russe du marché export et une météo américaine défavorable motivent une montée des prix.
À l'échelle mondiale comme européenne, les prix du sucre évoluent actuellement à de très hauts niveaux en raison d'une offre restreinte.
Des conditions climatiques adverses dans le Midwest et de nouvelles ventes de maïs à la Chine soutiennent Chicago dans sa hausse.
Le président de la Fédération du négoce agricole revient en vidéo sur le bilan de l'année 2022 pour le négoce et livre ses conseils de commercialisation. (Article publié initialement le 24 mars 2023 à (...)
Les blés d’hiver aux US continuent de subir des conditions climatiques particulièrement difficiles. Après le coup de froid qui a touché les cultures à la mi-mars, le retour du sec se fait à nouveau cr (...)
Le colza retrouve une tendance stable, tandis que l’huile de palme enregistre une rapide accélération à la Bourse de Kuala Lumpur.
Le blé débute la semaine sur un mouvement de retrait malgré des éléments de tensions persistants à l’international.
Achevées en février, les négociations commerciales entre la grande distribution et ses fournisseurs pourraient rouvrir plus tôt que prévu, en raison de l’orientation à la baisse des produits énergétiq (...)
Le risque d’une réduction des exportations russes et une demande mondiale en reprise poussent rapidement les cotations US à la hausse.
Le récent décrochage des prix du colza n’aura pas entamé la compétitivité de l’origine australienne sur le marché communautaire. Les prix Fob constatés en Australie enregistrent en effet eux-aussi un (...)
Les prix du blé et du maïs consolident après leur bond de vendredi dernier. Les incertitudes concernant les programmes exports de la Russie restent au centre des attentions.
Les incertitudes concernant le maintien des exportations russes et une reprise du secteur des huiles maintiennent le colza à la hausse.
Le conseil international des céréales évalue en forte hausse les échanges mondiaux de soja cette campagne. La production et la consommation sont elles aussi attendues en hausse par rapport à 2021/22, (...)
Des rumeurs concernant une suspension des exportations russes de blé et d’huile de tournesol entrainent une flambée des céréales et du complexe soja.
La dernière quinzaine a été marquée par un retour remarqué de la Chine sur le marché des importations. L’USDA a en effet annoncé de nombreuses ventes de maïs US ancienne récolte à l’empire du Milieu, (...)
Le risque d’une suspension des exportations russes d’huile de tournesol et une rapide contraction de l’eurodollar poussent le colza à la hausse.
Une potentielle suspension des exportations russes et un regain de la demande chinoise en maïs relancent les prix à la hausse.
FranceAgriMer signale une baisse des estimations relatives aux exportations de blé tendre sur la campagne de commercialisation 2022/23, côté France comme côté UE. Petit rabotage aussi pour les importa (...)
La concurrence du soja brésilien et des ventes à l’international décevantes maintiennent Chicago dans le rouge.
Après une fin janvier et un mois de février extrêmement sec, le climat s’est nettement amélioré ces dernières semaines dans l’Hexagone. Des cumuls de précipitations significatifs ont en effet balayé l (...)
Le colza retrouve finalement le chemin de la hausse, dans un mouvement toutefois encore entravé par le renforcement de l’eurodollar et la compétitivité des origines d’import.
Les cours du blé et du maïs enchainent une nouvelle performance baissière sous le poids de la concurrence internationale d'une météo plus favorable.
Pour la campagne de commercialisation 2023/24, le Conseil international des céréales prévoit une hausse de la production et de la consommation de céréales à l'échelle mondiale, une contraction des sto (...)
Les risques de crise financière et un climat US plus favorable ont pesé sur les cours outre-Atlantique.
L’amélioration climatique en France se confirme tandis que les États-Unis ont subi une nouvelle vague de froid critique.
Rien ne semble pouvoir enrayer la chute des prix du blé, maïs et colza sur le marché européen : ce repli général, en dépit de l'incertitude sur le corridor maritime ukrainien, est alimenté par l'impor (...)
Le colza et le tournesol subissent actuellement une chute vertigineuse de près de 100 €/t depuis le début du mois. Les flux d’imports de tournesol ukrainien ainsi que de colza / canola australien ont (...)
Les risques macroéconomiques et une concurrence compétitive tirent rapidement les céréales à la baisse.
Les risques financiers et des importations européennes très élevées enferment le colza dans sa spirale négative.
