Marchés
Au regard du dynamisme des envois vers la Chine en janvier, février et mars, FranceAgriMer a relevé son estimation des exportations d'orge française en 2022/23.
Les cours américains reculent sèchement dans un marché mondial plombé par les craintes macroéconomiques et la concurrence mer Norie.
Les cours du blé enregistrent un rebond très timide tandis que le maïs poursuit son retrait.
Le colza européen parvient à se stabiliser après une longue série de séances dans le rouge.
La Commission européenne a annoncé lundi vouloir puiser dans une réserve de crise pour soutenir les cultivateurs en Pologne, Roumanie et Bulgarie, déstabilisés par l'afflux d'importations agricoles uk (...)
Les céréales US ont rapidement reculé après la prolongation du corridor sécurisé en mer Noire. Le soja grimpe à nouveau sous l'impulsion d'une activité portuaire dynamique.
L’accord permettant les exportations agricoles depuis l’Ukraine via un corridor sécurisé a été renouvelé samedi. Mais jusqu’à quand ? La Russie avertit qu’elle s’opposera à une extension au-delà du 18 (...)
Les tensions sociales en France viennent aussi impacter le marché des grains. Depuis le début du mois, de nombreux problèmes logistiques sont en effet rapportés sur le fret intérieur et le portuaire. (...)
Les prix du colza dévissent à nouveau face aux risques d’une crise financière.
Les cours du blé et du maïs reculent dans un marché secoué par les craintes liées au secteur financier.
La Turquie espère toujours que l'accord international sur l'exportation de céréales d'Ukraine -crucial pour tempérer la crise alimentaire dans le monde - pourra être prolongé de 120 jours et s'active (...)
Les céréales américaines engagent un rebond en l’absence d’accord concernant le renouvellement du corridor sécurisé en mer Noire.
Dans son dernier bilan mensuel, FranceAgriMer a relevé de 200 kt le potentiel d’exports français d’orge vers les pays tiers, à 3 Mt (3,38 Mt l’an dernier). La seconde partie de campagne est en effet m (...)
Les cours des céréales évoluent en petite baisse sous la pression des origines mer Noire.
Les cours du colza se stabilisent dans un marché nerveux. Les potentiels de production de soja en Argentine continuent toutefois de s’écrouler.
Les discussions sur l'accord international sur l'exportation de céréales d'Ukraine, dont le maintien au-delà de samedi semble incertain en raison d'un désaccord entre Moscou et Kiev sur sa durée, se p (...)
Entre chute des prix du gaz, faible demande saisonnière et offre conséquente, les cours des engrais sont, pour la plupart, toujours orientés à la baisse.
Les cotations américaines ont évolué en ordre dispersé jeudi soir dans un marché extrêmement nerveux. De bonnes ventes ont toutefois soutenu les cours du maïs.
Loin de ralentir, les exportations ukrainiennes de maïs maintiennent un rythme très élevé et dépassent désormais le rythme enregistré l’an dernier à la même période (19,9 Mt depuis le 1er juillet 2022 (...)
Le marché est de nouveau mis sous pression par la compétitivité des origines mer Noire. Les négociations concernant le corridor sécurisé restent toutefois au centre des attentions.
Les risques qui pèsent sur le marché financier et le décrochage des cours du brut continuent de tirer le colza à la baisse.
Des deux côtés de l’Atlantique, les banques centrales relèvent fortement leurs taux directeurs pour contrer l’inflation. Une politique qui engendre des risques sur la croissance économique, explique F (...)
Les prix des céréales grimpent à Chicago malgré le bond du billet vert.
Les pluies soulagent les cultures françaises mais des apports supplémentaires sont nécessaires. Aux US, la nouvelle vague de froid en provenance du Canada est observée avec attention.
Les marchés agricoles sont « à la fois rassurés et déçus » : l'accord russe pour une prolongation du corridor maritime ukrainien a soulagé les opérateurs, mais cette reconduction pour « seulement 60 j (...)
Selon la Commission européenne, la France aurait exporté 8,6 Mt de blé tendre vers les pays tiers au 13 mars dernier, soit un record historique pour la période de l’année. Ce volume représente plus de (...)
Les cours du colza profitent d'un vif retrait de la parité eurodollar mais restent plombés par un cours du brut au plus bas depuis quinze mois.
Le blé et le maïs enregistrent un nouveau repli dans un marché en attente de nouvelles concernant le corridor sécurisé en mer Noire.
Les Nations unies ont estimé mardi que l'accord international sur l'exportation de céréales d'Ukraine, qui a permis depuis l'été dernier d'atténuer une crise alimentaire mondiale, devrait poursuivre e (...)
Après d'excellentes vendanges 2022, la production viticole française promet d'être abondante et de remplir les chais, mais les prix payés aux viticulteurs s'effritent sur la fin de l'année, en particu (...)
Des conditions de culture encore critiques dans le Midwest et une vente de maïs encourageante à la Chine poussent à nouveau Chicago à la hausse.
Les prix de l’huile de palme à la Bourse de Kuala Lumpur sont actuellement mis sous haute pression par une perte de compétitivité face aux autres huiles et un décrochage des cours du brut. La Malaisie (...)
Des consultations à Genève sur une prolongation de l'accord sur l'exportation des céréales ukrainiennes qui a permis d'atténuer une crise alimentaire mondiale se poursuivent mardi après une propositio (...)
Les craintes macroéconomiques plombent l’ensemble du complexe oléagineux.
Le blé et le maïs abandonnent une partie de leurs gains de la veille dans un marché encore incertain concernant le corridor sécurisé en mer Noire.
La Russie s'est dite lundi favorable au renouvellement de l'accord sur les exportations de céréales ukrainiennes, qui expire le 18 mars, pour 60 jours, et non 120 comme cela a été le cas jusqu'à prése (...)
Le vif retrait du pétrole après la faillite d’une banque américaine tire le prix du maïs et du soja à la baisse.
Le dernier rapport USDA a un peu plus appuyé sur des cours du blé déjà malmenés par une concurrence mer Noire agressive. Le département américain de l’agriculture a en effet relevé de 1 Mt la producti (...)
Les prix du blé repartent à la hausse du fait d'un sursaut de la demande internationale.
Le colza se fait à nouveau emporter à la baisse par les craintes économiques et le décrochage du pétrole.
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