Marchés
Les cours du colza échouent à rebondir face à un rythme d’imports européen extrêmement dynamique. L’huile de palme conserve en revanche sa fermeté.
Les prix des céréales européennes restent sous pression face à la concurrence mer Noire.
L’invasion de l’Ukraine par la Russie, il y a un an, a profondément bouleversé les marchés des grandes cultures. Si les prix se rapprochent depuis peu de leurs niveaux d’avant-guerre, le conflit va co (...)
Les cours américains restent plombés par un manque de compétitivité et un climat plus favorable dans le Midwest.
Dans son dernier Crop Progress mensuel, l’USDA a de nouveau réduit de deux points ses notations de « bon à excellent » dans le Kansas, à 19 %, contre 25 % un an plus tôt, soit les plus faibles notatio (...)
Le colza cède lourdement face au retrait technique du palme et à des nouvelles rassurantes en Amérique du Sud.
Les céréales peinent à rebondir face à l’optimise concernant le corridor sécurisé en mer Noire. Le blé se situe autour de 277 €/t sur le marché à terme européen, contre 290 €/t environ au déclenchemen (...)
La concurrence russe et un climat plus favorable dans le Midwest provoquent un nouveau décrochage du blé US.
Encore au centre des préoccupations, les conditions climatiques n’ont pas fini de détériorer les potentiels de production argentins. Après le coup de froid qui a touché le pays lors du week-end du 18 (...)
Les cours du colza profitent du soutien de l’huile de palme pour retrouver un peu de hauteur.
Le blé se stabilise tandis que le maïs poursuit son retrait face à l’apaisement des craintes concernant le renouvellement du corridor sécurisé en mer Noire.
Le soutien de la Chine au corridor sécurisé en mer Noire plonge les prix du blé et du maïs dans le rouge.
Le traditionnel Agricultural Forum Outlook de l’USDA a débuté hier, avec notamment les premières estimations de surfaces sur la campagne 23/24. Les semis de maïs sont ainsi projetées à 91 millions d’a (...)
Les cours du colza peinent à rebondir malgré un prix du palme et un complexe soja encore fermes.
Les cours du blé et du maïs reculent face à la progression des surfaces US, malgré un potentiel de production argentin révisé à la baisse.
Que fait le blé à la Bourse de Chicago ? Coter les céréales sur un marché financier se fait depuis plus d'un siècle, et les marchés de matières premières sont devenus essentiels pour les producteurs e (...)
Elles sont quatre compagnies, puissantes comme des Etats, à dominer le commerce mondial des céréales : les « ABCD » ont réalisé des bénéfices exceptionnels depuis 2021 grâce à la flambée des prix et s (...)
La spéculation a-t-elle provoqué l'envol des prix du blé et d'autres céréales avec la guerre en Ukraine? Les financiers et leurs détracteurs semblent irréconciliables sur le sujet et ne parviennent pa (...)
L'Inde vient de lancer un appel d'offre très attendu pour un achat d'urée. En raison d'un volume plus faible et d'une fenêtre d'envoi plus longue que prévu, les cours ne sont pas repartis à la hausse, (...)
L’annonce d’une hausse sensible des surfaces US de blé et de maïs pèsent sur les cotations américaines.
Le dernier appel d’offres du Gasc a une nouvelle fois, sans surprise, souligner l’abondance et la forte compétitivité du blé russe à l’international. La seule offre française a notamment été proposée (...)
Le colza maintient une cadence baissière malgré le nouveau bond des prix du palme.
Le blé et le maïs tente de retrouver le chemin de la hausse après un début de semaine plombé par la concurrence russe.
Une montagne d'orge est débarquée d'une péniche, une noria de camions vient livrer ses grains : premier port céréalier d'Europe de l'Ouest, Rouen a connu une année faste qui a vu la guerre en Ukraine (...)
Dans son discours à la nation prononcé mardi, Vladimir Poutine s'est félicité d'une récolte céréalière record et a annoncé des volumes à l'exportation entre 55 et 60 Mt sur la campagne 2022/23.
Plus que la notion de souveraineté alimentaire, scientifiquement vague et brandie par plusieurs gouvernements depuis la guerre en Ukraine, celle de sécurité alimentaire répond aux besoins des populati (...)
Le blé creuse rapidement ses pertes face à la concurrence mer Noire et aux craintes macroéconomiques.
Un an après le début de l'invasion russe de l'Ukraine, les cours mondiaux des céréales sont retombés à leur niveau d'avant le conflit, un point d'équilibre précaire dans une « ambiance de guerre froid (...)
L’absence de pluies et l’arrivée d’une vague de froid en France risquent de causer des pertes de potentiels. En Russie en revanche, les conditions climatiques sont désormais rassurantes.
Les prix des huiles à Rotterdam ont enregistré un rapide déclin depuis le début de la campagne. La concurrence internationale et une demande en retrait ont notamment participé à ce mouvement. L’huile (...)
Les prix du colza perdent à nouveau du terrain malgré la fermeté du palme et les risques de production sur le soja argentin.
Le blé recule face à la compétitivité de l’origine mer Noire, tandis que le maïs grimpe en réaction au climat argentin.
Malgré des hausses d'une année sur l'autre pour le blé, l'orge et l'avoine, la production mondiale de céréales devrait baisser de 42 Mt cette campagne par rapport à 2021/22, d'après le Conseil interna (...)
Le blé US enregistre des pertes notables, tandis que le maïs et le soja reprennent leur marche haussière.
Le Canada retrouve sur cette campagne un rythme d’exports bien plus dynamique. La précédente récolte avait en effet été marquée par une production catastrophique qui avait de fait provoqué une présenc (...)
Les risques de production en Argentine poussent légèrement le colza à la hausse.
La pression de l’origine mer Noire tire le blé à la baisse, tandis que le maïs se raffermit face aux risques de production en Argentine.
FranceAgriMer a réduit de 150 000 t l’objectif d’exports de blé tendre français vers les pays tiers en 2022/23, en raison de la forte concurrence de la mer Noire à l’international.
Dans un contexte de prix des engrais élevés, une réflexion s’impose pour optimiser la rentabilité technico-économique de la culture de blé pour la campagne 2022-2023.
Les conditions climatiques en Argentine ne cessent de se dégrader. Malgré quelques précipitations enregistrées fin janvier, la majeure partie du pays continue de souffrir d’un déficit hydrique majeur (...)
