Marchés
Que fait le blé à la Bourse de Chicago ? Coter les céréales sur un marché financier se fait depuis plus d'un siècle, et les marchés de matières premières sont devenus essentiels pour les producteurs e (...)
Elles sont quatre compagnies, puissantes comme des Etats, à dominer le commerce mondial des céréales : les « ABCD » ont réalisé des bénéfices exceptionnels depuis 2021 grâce à la flambée des prix et s (...)

La spéculation a-t-elle provoqué l'envol des prix du blé et d'autres céréales avec la guerre en Ukraine? Les financiers et leurs détracteurs semblent irréconciliables sur le sujet et ne parviennent pa (...)

L'Inde vient de lancer un appel d'offre très attendu pour un achat d'urée. En raison d'un volume plus faible et d'une fenêtre d'envoi plus longue que prévu, les cours ne sont pas repartis à la hausse, (...)
L’annonce d’une hausse sensible des surfaces US de blé et de maïs pèsent sur les cotations américaines.

Le dernier appel d’offres du Gasc a une nouvelle fois, sans surprise, souligner l’abondance et la forte compétitivité du blé russe à l’international. La seule offre française a notamment été proposée (...)
Le colza maintient une cadence baissière malgré le nouveau bond des prix du palme.
Le blé et le maïs tente de retrouver le chemin de la hausse après un début de semaine plombé par la concurrence russe.

Une montagne d'orge est débarquée d'une péniche, une noria de camions vient livrer ses grains : premier port céréalier d'Europe de l'Ouest, Rouen a connu une année faste qui a vu la guerre en Ukraine (...)

Dans son discours à la nation prononcé mardi, Vladimir Poutine s'est félicité d'une récolte céréalière record et a annoncé des volumes à l'exportation entre 55 et 60 Mt sur la campagne 2022/23.

Plus que la notion de souveraineté alimentaire, scientifiquement vague et brandie par plusieurs gouvernements depuis la guerre en Ukraine, celle de sécurité alimentaire répond aux besoins des populati (...)
Le blé creuse rapidement ses pertes face à la concurrence mer Noire et aux craintes macroéconomiques.

Un an après le début de l'invasion russe de l'Ukraine, les cours mondiaux des céréales sont retombés à leur niveau d'avant le conflit, un point d'équilibre précaire dans une « ambiance de guerre froid (...)

L’absence de pluies et l’arrivée d’une vague de froid en France risquent de causer des pertes de potentiels. En Russie en revanche, les conditions climatiques sont désormais rassurantes.

Les prix des huiles à Rotterdam ont enregistré un rapide déclin depuis le début de la campagne. La concurrence internationale et une demande en retrait ont notamment participé à ce mouvement. L’huile (...)
Les prix du colza perdent à nouveau du terrain malgré la fermeté du palme et les risques de production sur le soja argentin.
Le blé recule face à la compétitivité de l’origine mer Noire, tandis que le maïs grimpe en réaction au climat argentin.

Malgré des hausses d'une année sur l'autre pour le blé, l'orge et l'avoine, la production mondiale de céréales devrait baisser de 42 Mt cette campagne par rapport à 2021/22, d'après le Conseil interna (...)
Le blé US enregistre des pertes notables, tandis que le maïs et le soja reprennent leur marche haussière.

Le Canada retrouve sur cette campagne un rythme d’exports bien plus dynamique. La précédente récolte avait en effet été marquée par une production catastrophique qui avait de fait provoqué une présenc (...)
Les risques de production en Argentine poussent légèrement le colza à la hausse.
La pression de l’origine mer Noire tire le blé à la baisse, tandis que le maïs se raffermit face aux risques de production en Argentine.

FranceAgriMer a réduit de 150 000 t l’objectif d’exports de blé tendre français vers les pays tiers en 2022/23, en raison de la forte concurrence de la mer Noire à l’international.

Dans un contexte de prix des engrais élevés, une réflexion s’impose pour optimiser la rentabilité technico-économique de la culture de blé pour la campagne 2022-2023.

Les conditions climatiques en Argentine ne cessent de se dégrader. Malgré quelques précipitations enregistrées fin janvier, la majeure partie du pays continue de souffrir d’un déficit hydrique majeur (...)
Le colza décroche de près de 10 €/t sur Euronext malgré la montée du prix de l'huile de palme et des conditions climatiques préoccupantes en Argentine.
Euronext évolue sans tendance claire en l'absence des marchés américains.

Si les exports céréaliers de l'Ukraine se sont maintenus en 2022/23 par rapport à la moyenne quinquennale, ils devraient chuter sur la prochaine campagne, notamment à cause d'une production attendue e (...)
Les risques climatiques en Amérique du Sud relancent les prix US à la hausse.

Comme chaque année, FranceAgriMer a publié à la mi-février ses premières notations de cultures d’hiver de la campagne. Le taux de blé tendre « bon à très bon » ressort à 93 % (95 % l’an dernier), tand (...)
Le colza est tiré à la baisse par les craintes macroéconomiques malgré des conditions de cultures de soja préoccupantes en Argentine et un vif rebond des cours de l'huile de palme.
Les prix du blé subissent à nouveau la concurrence russe. Les conditions de cultures de maïs en Argentine demeurent toutefois préoccupantes.
Une économie mondiale peu porteuse et la concurrence du blé russe et du soja brésilien laissent Chicago dans le rouge.

La tendance à la baisse se poursuit pour les engrais azotés, à la faveur de la décrue des prix du gaz naturel. La demande reste mesurée et l’offre importante sur le marché européen.

Nous évoquions au début du mois le risque concret d’une dégradation des conditions de culture en France. Depuis, l’absence de précipitations s’est effectivement confirmée et les cartes météo ne montre (...)
La pression du complexe soja tire légèrement le colza à la baisse. Les cours des huiles retrouvent toutefois de la hauteur.
Les céréales européennes creusent leurs pertes à la mi-séance face aux améliorations climatiques aux US.

Les prévisions d’exportation d’orge française sur 2022/23 viennent d’être revues en hausse en 350 000 t, un bond lié au regain de demande côté chinois sur la seconde partie de la campagne.
La fermeté du dollar, un climat plus favorable dans le Midwest et une trituration décevante font plier Chicago.

« La moindre rumeur fait sursauter le marché » : l'incertitude grandissante sur l'avenir du corridor maritime agricole ukrainien a fait remonter les cours du blé et du maïs sur le marché européen, au (...)