Actualité des marchés
Les articles concernant les marchés agricoles : céréales (blé, maïs, orge), oléagineux (colza, soja, tournesol), protéagineux, huiles et intrants (engrais, phytos, semences). Ils traitent du commerce et des échanges de produits agricoles en France, en Europe et dans le monde. Ils éclairent sur les tendances de prix, liées à l’équilibre entre offre et demande mais aussi aux aléas climatiques, à la géopolitique ou encore aux coûts de l’énergie.
Un climat plus mesuré en matière de températures et de précipitations rassure en Europe de l’Ouest, tandis que la couverture neigeuse formée aux États-Unis a écarté les risques liés au gel.
Les prix du colza conservent leur note de fermeté malgré les incertitudes concernant les relations commerciales entre le Canada et les États-Unis.
Les prix du blé restent hésitants après leur récent décrochage, tandis que le maïs gagne du terrain malgré la pression de Chicago.
L’interprofession céréalière et SNCF réseau se sont engagées à accentuer la part de céréales transportées par chemin de fer en France — 17 % à l’heure actuelle -, dans un double objectif de compétitiv (...)
Les cours des céréales sont encore tirés à la baisse par des conditions climatiques plus favorables et par le risque de dégradation des relations des États-Unis avec leurs principaux partenaires comme (...)
Les cours du colza reprennent un peu de hauteur malgré des prix du canola à nouveau sous pression.
Les prix du blé et du maïs peinent à se relancer face à un marché américain déprimé.
Chicago reste sous pression face à la concurrence brésilienne et à des conditions climatiques plus favorables dans l’hémisphère Nord.
Les prix du colza restent dans le rouge, pénalisés par la forte contraction de l’huile de palme.
Le blé européen recule tandis que les conditions climatiques s’améliorent dans l’hémisphère Nord.
La notion de « souveraineté alimentaire », mise en avant face aux crises du monde agricole, s'est éloignée de son sens initial pour incarner une vision « néoproductiviste », relève Olivier de Schutter (...)
Des pâtes principalement venues d'Italie, des poulets du Brésil ou d'Ukraine, une production en beurre insuffisante pour l'énorme demande et des pommes exportées outre-Manche... Zoom sur la souveraine (...)
Longtemps premier acheteur du blé français, l'Algérie boude désormais les chargements de la céréale du pain exportée par l'ancienne puissance coloniale : un désamour antérieur à la récente crise diplo (...)
Le vice-président du Rassemblement national, Louis Aliot, a qualifié samedi de « catastrophique » le traité UE-Mercosur, alors que le RN lance une campagne nationale contre cet accord de libre-échange (...)
« Entre alliés, on ne peut pas faire souffrir l'autre avec des tarifs » douaniers, a déclaré Emmanuel Macron samedi au premier jour de l'ouverture du Salon de l'agriculture à Paris alors que Donald Tr (...)
Les prix du maïs et du soja ont perdu du terrain, tandis que le blé a retrouvé un peu de hauteur à Chicago.
Les cours du colza montent à nouveau, tirés par le canola canadien et l’huile de palme.
Les prix du blé repartent timidement à la hausse face à des conditions de cultures encore dégradées en France.
Les prix du blé ont poursuivi leur rapide mouvement de contraction après les précipitations neigeuses constatées aux États-Unis.
Alors que les prix des engrais azotés s’envolent ces dernières semaines, 54 % des lecteurs interrogés par Terre-net sont complètement couverts pour la campagne en cours et 10 % ne le sont pas du tout. (...)
Les prix du colza s’appuient à nouveau sur la fermeté du canola et des huiles pour gagner du terrain.
Les aléas climatiques continuent de bousculer les prix du blé tendre et du maïs.
La formation de couverture neigeuse en Russie et aux États-Unis a plongé les prix du blé en territoire négatif.
Les prix mondiaux des céréales étaient soutenus ces derniers jours par le maïs, dans un contexte de resserrement de l'offre de grain jaune et d'une demande essentiellement satisfaite par les États-Uni (...)
Des pluies plus rares rassurent en France, tandis que les cultures russes et américaines sont frappées par un vague de froid critique.
Le colza Euronext profite du renforcement du canola et des huiles végétales pour enregistrer des gains notables.
Les prix du blé restent hésitants malgré des préoccupations grandissantes concernant le climat dans l’hémisphère Nord.
Les conditions climatiques aux États-Unis et en Russie motivent une nouvelle montée des prix du blé.
Le colza européen s’appuie sur la faiblesse de l’eurodollar pour gagner en fermeté.
Le blé européen se redresse sous l’impulsion d’un affaiblissement de l’eurodollar et face aux risques climatiques dans l’hémisphère Nord.
La Commission européenne s’élève contre la politique commerciale annoncée par Donald Trump, qui prévoit d'appliquer aux produits étrangers des droits de douane équivalents à ceux subis par les produit (...)
Le colza Euronext s’appuie sur la montée du canola canadien pour engranger quelques gains sur son contrat mai 2025.
Les prix du blé sur Euronext échouent à imiter la rapide montée des cours enregistrée à Chicago vendredi dernier.
La France reste la première puissance agricole européenne mais après une année 2024 catastrophique, y compris pour les céréales et le vin, habituels moteurs, rares sont les voyants encore au vert.
Le représentant des coopératives agricoles a appelé dimanche le secteur de la distribution à « plus de coopération et de responsabilité », notamment en évitant une « guerre des prix ».
La ministre de l'agriculture Annie Genevard veut « ajuster » la loi Egalim, censée garantir une meilleure rémunération des agriculteurs en encadrant davantage les négociations entre les fabricants agr (...)
Les prix du blé ont bondi vendredi soir face aux risques accrus de dégâts de gel sur les cultures américaines.
Le groupement des producteurs de pommes de terre du nord-ouest européen (NEPG) alerte sur le contexte incertain de la campagne à venir.
Le colza profite de la montée des prix du canola canadien pour se réorienter à la hausse.
Les risques climatiques aux États-Unis et en mer Noire ainsi que des conditions de culture dégradées en France portent les prix du blé.
