Actualité des marchés
Les articles concernant les marchés agricoles : céréales (blé, maïs, orge), oléagineux (colza, soja, tournesol), protéagineux, huiles et intrants (engrais, phytos, semences). Ils traitent du commerce et des échanges de produits agricoles en France, en Europe et dans le monde. Ils éclairent sur les tendances de prix, liées à l’équilibre entre offre et demande mais aussi aux aléas climatiques, à la géopolitique ou encore aux coûts de l’énergie.
Les cours du maïs et du soja plient encore à Chicago, en réaction au rebond du dollar Index et face aux multiples tensions commerciales.
L’Association nationale de la meunerie française (ANMF) a mis à jour la liste des blés meuniers. Ce document de référence pour la filière blé-farine-pain comprend 150 variétés en 2025.
Le colza européen reste ancré dans sa dynamique haussière malgré un canola canadien encore sous pression et un complexe soja attentiste.
Les cours des céréales n’affichaient pas d’évolution claire à la mi-séance, tandis que le blé souffre de son manque d’attractivité à l’international.
Le président de la commission "agriculture" du parlement ukrainien, en visite à Paris, a appelé jeudi à « un partenariat » avec la France et avec l'Europe dans le secteur agricole, alors qu'expire déb (...)
Des ventes décevantes ont un peu plus dégradé les prix du blé à Chicago, tandis que le maïs a profité d’une activité plus dynamique.
L’humanité a de tout temps cherché à disposer de réserves alimentaires. Il aura suffi d’un traumatisme européen face aux excédents des années 1970, mais surtout de la libéralisation des échanges agric (...)
La Commission européenne a annoncé jeudi reporter de deux semaines, à mi-avril, l'entrée en vigueur de ses contre-mesures visant des produits américains en réponse aux taxes de 25 % décidées par Donal (...)
Les prix du colza consolident très légèrement, après avoir vivement rebondi lors de la séance de la veille.
Les prix du blé et du maïs repartent dans le rouge après leur sursaut de la veille.
Les prix du blé et du soja ont reculé à Chicago, mais le maïs a profité d’un renforcement du secteur de l’éthanol pour se redresser.
Revenant aux fondamentaux - la météo et le volume des récoltes - les cours du blé, maïs et autres céréales ont tout juste frémi depuis une semaine de part et d'autre de l'Atlantique, les acteurs des m (...)
L’Europe de l’Ouest profite d’un climat plus favorable, mais l’intensité des pluies annoncées à la fin du mois reste sous surveillance. Les États-Unis subissent de leur côté des événements météorologi (...)
Après 8 ans de développement et de structuration, Cereapro, leader français du négoce de céréales digital, propose son contrat prix moyen pour la récolte 2025. L’objectif : « répondre aux demandes de (...)
Les cours du colza profitent d’un regain du canola pour amplifier leur rebond.
Le climat américain et un accord de cessez-le-feu peu convaincant en Ukraine relancent le blé à la hausse.
Les négociations de paix en Ukraine et une demande chinoise en chute libre ont pénalisé les cours des céréales.
Les prix du colza tentent un rebond sur Euronext, malgré un complexe oléagineux encore sous pression.
Les prix du blé évoluent en ordre dispersé dans un marché toujours caractérisé par un manque de certitudes.
Les tempêtes américaines provoquent une rapide progression des cours du blé à Chicago.
Les prix du colza étaient encore dans le rouge ce lundi à la mi-séance sur Euronext, au sein d’un complexe oléagineux durement chahuté.
Les prix du blé tentent de repartir à la hausse malgré les nombreuses incertitudes qui pénalisent le marché.
Le blé et le maïs ont conclu la semaine dans le rouge, tandis que le soja a retrouvé un peu de fermeté.
Les pays de l'UE se sont mis d'accord vendredi pour imposer des droits de douane à de nouveaux produits agricoles et engrais importés de Russie et du Belarus, proche allié de Moscou, a annoncé le Cons (...)
Les prix du colza continuent de plier face à la fermeté de l’eurodollar et aux risques liés à la guerre commerciale.
Les prix du blé sont à nouveau tirés à la baisse par la montée de la parité eurodollar.
Le ministre de l'économie Eric Lombard a regretté vendredi une « guerre idiote » avec les Etats-Unis, après les menaces de Donald Trump d'imposer à la France et à l'Union européenne des droits de doua (...)
« Par son isolationnisme et son protectionnisme, Trump est en train de stresser l'économie mondiale », notamment les agriculteurs et l'industrie pour qui « ça va tanguer », a estimé le président du co (...)
Des ventes américaines encourageantes et une production argentine révisée à la baisse ont motivé une reprise des cotations américaines.
Donald Trump a menacé jeudi la France et l'Union européenne (UE) d'imposer des droits de douane à 200 % sur leurs champagne, vins et autres alcools si les tarifs douaniers de l'UE à venir de 50 % sur (...)
Les prix du blé se relancent en s’appuyant sur la petite faiblesse de l’eurodollar et un regain de la demande mondiale.
La petite faiblesse de l’eurodollar et un canola canadien mieux orienté motivent une tentative de rebond du colza européen.
FranceAgriMer vient de réviser ses estimations de collecte, utilisations intérieures, exports et stocks français de céréales pour la campagne 2024/25, dans un climat international très instable qui po (...)
Donald Trump ouvre un nouveau front dans sa guerre commerciale en imposant des droits de douane à l’Union européenne, et dégrade un peu plus la tendance à Chicago.
« C'est le brouillard », « la purée de pois » : les cours du blé, maïs ou soja oscillaient mercredi dans un marché agricole mondial incertain, bousculé depuis un mois par les annonces de mesures douan (...)
Les pluies et les températures restent sous surveillance en France, mais les prévisions météo restent rassurantes.
Sur son site historique de Vecquemont (Somme), le groupe Roquette a inauguré, le 6 mars dernier, une nouvelle ligne de production de solubles clarifiés, issus de la transformation de la pomme de terre (...)
Plombé par le canola canadien, le colza Euronext poursuit son mouvement de retrait.
Les prix du blé et du maïs se stabilisent difficilement, après des rapports plutôt défavorables de l’USDA et de FranceAgriMer.
Outre l'aluminium, l'acier ou les voitures, la guerre commerciale menée par Donald Trump vise aussi l'agriculture, un secteur où le déficit des Etats-Unis se creuse depuis 2019.
