Actualité des marchés
Les articles concernant les marchés agricoles : céréales (blé, maïs, orge), oléagineux (colza, soja, tournesol), protéagineux, huiles et intrants (engrais, phytos, semences). Ils traitent du commerce et des échanges de produits agricoles en France, en Europe et dans le monde. Ils éclairent sur les tendances de prix, liées à l’équilibre entre offre et demande mais aussi aux aléas climatiques, à la géopolitique ou encore aux coûts de l’énergie.

Le maïs est en « chute libre », le soja mal en point : la guerre commerciale lancée par le président américain Donald Trump a semé un « vent de panique » sur les marchés agricoles mondiaux.

[Contenu proposé par La Pomme de terre française] L’UNPT, l’Union nationale des producteurs de pommes de terre, et Belpotato.be, l’organisation interprofessionnelle belge qui regroupe le négoce et l’i (...)
Le colza européen reste pénalisé par la guerre commerciale lancée entre le Canada et les États-Unis.
Les prix du blé et du maïs échouent à se relancer face aux incertitudes concernant la politique commerciale américaine.
Les droits de douane américain à l’encontre du Mexique, du Canada et de la Chine ont provoqué un nouveau décrochage des cotations américaines.
L’instauration des droits de douane américains bouscule à la baisse l’ensemble du complexe oléagineux.
L’officialisation des taxes douanières américaines plonge un peu plus le marché en territoire négatif.
Pékin a annoncé mardi des droits de douane supplémentaires sur une série de produits américains, dont le poulet, le blé, le maïs ou le soja, en riposte à l'entrée en vigueur de nouvelles taxes américa (...)
Les cotations dévissent à nouveau à Chicago, dans un mouvement de panique concernant les taxes douanières américaines.
Les prix du colza reculent dans un marché incertain et sous le poids de l’eurodollar.
Le blé et le maïs restent chahutés par le brutal retournement baissier de Chicago.
Les tensions commerciales et les incertitudes géopolitiques ont laissé les cours américains subir un nouveau mouvement de contraction brutal.
Les prix du colza rendent un peu de terrain, malgré une tentative de reprise du complexe soja à Chicago.
Les cours du blé retrouvent un peu de fermeté après avoir lourdement dévissé lors des précédentes séances.
Le ministre de la Justice Gérald Darmanin, en visite jeudi au Salon de l'agriculture à Paris, a annoncé que 100 % des produits consommés en prison seraient français d'ici 2028.
L’annonce d’une hausse des surfaces américaines par l’USDA a un peu plus plombé la tenance outre-Atlantique.
Les cours du colza se maintiennent dans le vert, malgré la nervosité du marché face à la politique commerciale incertaine des États-Unis.
Les prix du blé et du maïs restent hésitants face aux incertitudes concernant les politiques commerciales américaines.

Les marchés des céréales et oléagineux sont indécis, contenus par les interrogations sur les droits de douane de Donald Trump, sur fond d'aléas météorologiques.
Le marché américain reste couvert de rouge à la veille d’estimations très attendues de l’USDA.

Un climat plus mesuré en matière de températures et de précipitations rassure en Europe de l’Ouest, tandis que la couverture neigeuse formée aux États-Unis a écarté les risques liés au gel.
Les prix du colza conservent leur note de fermeté malgré les incertitudes concernant les relations commerciales entre le Canada et les États-Unis.
Les prix du blé restent hésitants après leur récent décrochage, tandis que le maïs gagne du terrain malgré la pression de Chicago.

L’interprofession céréalière et SNCF réseau se sont engagées à accentuer la part de céréales transportées par chemin de fer en France — 17 % à l’heure actuelle -, dans un double objectif de compétitiv (...)
Les cours des céréales sont encore tirés à la baisse par des conditions climatiques plus favorables et par le risque de dégradation des relations des États-Unis avec leurs principaux partenaires comme (...)
Les cours du colza reprennent un peu de hauteur malgré des prix du canola à nouveau sous pression.
Les prix du blé et du maïs peinent à se relancer face à un marché américain déprimé.
Chicago reste sous pression face à la concurrence brésilienne et à des conditions climatiques plus favorables dans l’hémisphère Nord.
Les prix du colza restent dans le rouge, pénalisés par la forte contraction de l’huile de palme.
Le blé européen recule tandis que les conditions climatiques s’améliorent dans l’hémisphère Nord.
La notion de « souveraineté alimentaire », mise en avant face aux crises du monde agricole, s'est éloignée de son sens initial pour incarner une vision « néoproductiviste », relève Olivier de Schutter (...)

Des pâtes principalement venues d'Italie, des poulets du Brésil ou d'Ukraine, une production en beurre insuffisante pour l'énorme demande et des pommes exportées outre-Manche... Zoom sur la souveraine (...)

Longtemps premier acheteur du blé français, l'Algérie boude désormais les chargements de la céréale du pain exportée par l'ancienne puissance coloniale : un désamour antérieur à la récente crise diplo (...)
Le vice-président du Rassemblement national, Louis Aliot, a qualifié samedi de « catastrophique » le traité UE-Mercosur, alors que le RN lance une campagne nationale contre cet accord de libre-échange (...)
« Entre alliés, on ne peut pas faire souffrir l'autre avec des tarifs » douaniers, a déclaré Emmanuel Macron samedi au premier jour de l'ouverture du Salon de l'agriculture à Paris alors que Donald Tr (...)
Les prix du maïs et du soja ont perdu du terrain, tandis que le blé a retrouvé un peu de hauteur à Chicago.
Les cours du colza montent à nouveau, tirés par le canola canadien et l’huile de palme.
Les prix du blé repartent timidement à la hausse face à des conditions de cultures encore dégradées en France.
Les prix du blé ont poursuivi leur rapide mouvement de contraction après les précipitations neigeuses constatées aux États-Unis.

Alors que les prix des engrais azotés s’envolent ces dernières semaines, 54 % des lecteurs interrogés par Terre-net sont complètement couverts pour la campagne en cours et 10 % ne le sont pas du tout. (...)