Actualité des marchés
Les articles concernant les marchés agricoles : céréales (blé, maïs, orge), oléagineux (colza, soja, tournesol), protéagineux, huiles et intrants (engrais, phytos, semences). Ils traitent du commerce et des échanges de produits agricoles en France, en Europe et dans le monde. Ils éclairent sur les tendances de prix, liées à l’équilibre entre offre et demande mais aussi aux aléas climatiques, à la géopolitique ou encore aux coûts de l’énergie.
Les cours du colza accusent un retrait technique après leur petit rallye haussier des dernières séances.
Le blé enregistre une dynamique stable à haussière tandis que les conditions de culture en France restent préoccupantes.
Les prix mondiaux des denrées alimentaires ont reculé en février, pour le septième mois consécutif, entraînés vers le bas par la dégringolade des cours des céréales causée par des récoltes abondantes (...)
La progression du blé a été entravée par l’annulation d’une vente à la Chine. Le maïs et le soja ont en revanche terminé en hausse.
Les cours du colza poursuivent leur ascension, dans le sillage du canola canadien et de l’huile de palme.
Les prix du blé repartent rapidement à la hausse, motivés par le nouvel appel d’offres du Gasc.
Le blé américain a plongé à son plus bas niveau depuis l’été 2020.

Les cours du blé n'en finissent pas de dégringoler : le prix de la céréale du pain est tombé à son plus bas niveau depuis l'été 2020 sur le marché européen, écrasé par une offre abondante de mer Noire (...)

Les pluies trop fréquentes entravent la bonne avancée des semis de printemps. Aux États-Unis, c’est l’absence de précipitations qui suscite de nouveau les préoccupations.
Le colza reste stable, malgré un bond de l’huile de palme à Kuala Lumpur.

Le blé recule afin de gagner en compétitivité, tandis que le maïs hésite après des achats chinois de maïs ukrainien.

« Confusion » sur les flux commerciaux, incompréhensions sur les conditions de production dans un pays en guerre, et « intérêt mutuel » à garder les frontières ouvertes : pour désamorcer la colère agr (...)

Au milieu des champs de la région de Kiev, Lioudmyla Martyniouk se tient devant de hauts silos métalliques. Ses céréales devraient être en route pour l'étranger mais « on ne peut pas vendre », expliqu (...)
Les cotations américaines retombent en territoire négatif sous la pression des origines sud-américaines.
Le colza résiste à la pression baissière du soja et s’engage dans le sillage du rebond de l’huile de palme.
Les prix du blé restent malmenés par la concurrence russe.
Les cotations américaines se sont rapidement reprises ce lundi soir à Chicago, sur fond de considérations techniques.
Les cours du colza reculent légèrement malgré un rebond technique du soja US et une dégradation du potentiel de production européen.
Les cours du blé continuent de reculer dans le sillage des prix du blé russe.
Le blé est rapidement reparti à la baisse face à la concurrence mer Noire.
Le colza européen tente un rebond dans le sillage du complexe soja.
Les cours du blé cèdent encore sous la pression des origines russes, tandis que les conditions de culture se dégradent en France.
Les céréales ont maintenu une petite note stable à haussière, tandis que le soja est retombé après des ventes américaines décevantes la semaine dernière.
Le colza européen reste sous la pression du complexe soja, malgré un rapide rebond de l’huile de palme et du canola canadien.
Les cours du blé continuent de plier face à la concurrence russe.
Le maïs et le soja retrouvent un peu de fermeté à Chicago mais restent sous la pression des origines sud-américaines.

Les pluies qui s’installent de nouveau en France risquent d’entraver les travaux printaniers. La Russie profite dans le même temps de conditions favorables.
La concurrence russe met un terme à la tentative de rebond du blé UE.
Le colza cède de nouveau du terrain dans le sillage d’un complexe soja sous la pression des origines brésiliennes.

Les cours des céréales ont enregistré un petit sursaut en début de semaine, aidés par des achats chinois et des prises de bénéfices des spéculateurs, mais le marché reste morose faute de développement (...)
Les cours du blé se sont relancés à la hausse à Chicago, malgré des conditions de culture très encourageantes.
Les prix du colza rebondissent légèrement mais restent mis sous pression par un complexe soja alourdi par la concurrence brésilienne.
La concurrence russe continue d’entraver les tentatives de rebond du blé européen au-dessus des 200 €/t.
Une activité portuaire dynamique motive une petite reprise des cotations américaines.
Le colza échoue à initier un rebond technique face à la pression du complexe soja.
Les prix du blé repartent à la baisse dans un marché plombé par la course à la compétitivité menée par les origines mer Noire.
Des ventes décevantes et une forte concurrence internationale plombent encore le marché américain.
Alors que la France a voté pour la poursuite de la libéralisation des échanges agricoles avec Kiev avec des mesures de protection, les filières céréalières, betteravières et avicoles dénoncent une « v (...)
Le colza creuse ses pertes sous la pression du soja et d’un manque de compétitivité de l’huile de colza sur le marché communautaire.
Les prix du blé poursuivent leur rebond tandis que FranceAgriMer maintient de très faibles notations de culture.