Les articles concernant les marchés agricoles : céréales (blé, maïs, orge), oléagineux (colza, soja, tournesol), protéagineux, huiles et intrants (engrais, phytos, semences). Ils traitent du commerce et des échanges de produits agricoles en France, en Europe et dans le monde. Ils éclairent sur les tendances de prix, liées à l’équilibre entre offre et demande mais aussi aux aléas climatiques, à la géopolitique ou encore aux coûts de l’énergie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a jugé jeudi « injuste » que l'UE continue d'importer « sans restrictions » des céréales venant de Russie, tout en décidant de plafonner ses achats de certain (...)
Après une envolée de leurs bénéfices avec la flambée des cours du blé, du maïs et des oléagineux en 2021 et 2022, les géants du négoce agricole ont atterri en douceur en 2023 et se préparent à un envi (...)
Le colza continue de grimper timidement au sein d’un complexe oléagineux bien orienté.

Le blé tente un retour sur les 200 €/t

La perte de potentiel de production en Europe redonne un très léger soutien au prix du blé.

L’offre russe fait reculer le blé américain

Les prix du blé cèdent de nouveau face à la concurrence russe, tandis que le soja US enregistre un rapide rebond.
République tchèque, la Pologne et les trois Etats baltes ont appelé mercredi l'Union européenne à instaurer un embargo sur les céréales en provenance de Russie et de son allié bélarusse, invoquant l'i (...)
Les cours des céréales sont soutenus par les limitations décidées par Bruxelles sur certaines importations ukrainiennes et les rumeurs d'une possible taxation des importations russes.
Les cours des céréales se sont consolidés des deux côtés de l'Atlantique ces derniers jours, soutenus notamment par les limitations décidées par Bruxelles sur certaines importations ukrainiennes et de (...)
Les pluies demeurent un sujet de préoccupation en Europe de l’Ouest, tandis que les températures élevées exposent les cultures à un potentiel gel tardif.

Le colza en direction des 450 €/t

Le colza continue de grimper dans le sillage d’une huile de palme toujours aussi ferme.

Le blé UE retombe sous les 200 €/t

Les cours du blé repartent dans le rouge dans l’attente des résultats du dernier appel d’offres du Gasc
Le texte prévoit un frein d'urgence pour la volaille, les œufs et le sucre, ainsi que l'avoine, le maïs, les gruaux, mais pas le blé.
L'UE s'est accordée mercredi pour plafonner certaines importations agricoles ukrainiennes exemptées de droits de douane -œufs, volailles, sucre, mais aussi avoine, maïs et miel-, répondant à un motif (...)

Le blé US grimpe encore de près de 2 %

Les prix du blé maintiennent une note ferme après les attaques russes en Ukraine le week-end dernier.
Les agriculteurs européens accusent l'afflux de produits agricoles ukrainiens de plomber les 
prix locaux et d'entretenir une concurrence déloyale.
Les États de l'UE et Parlement européen ouvrent mardi soir des négociations pour prolonger l'exemption douanière accordée à l'Ukraine et pourraient décider de restreindre les importations de céréales (...)
Le groupe Roquette, spécialiste des ingrédients d'origine végétale, a indiqué mardi avoir signé un accord pour le rachat de la société américaine IFF Pharma Solutions, qui produit des composants pour (...)

Le colza progresse vers les 445 €/t

Le colza poursuit sa progression malgré la consolidation de l’huile de palme et le retrait du complexe soja.
Les attaques russes en Ukraine et des conditions de cultures dégradées en Europe tirent encore le blé dans le vert.
L'exécutif retient son souffle avant l'examen jeudi au Sénat du traité Ceta de libre-échange entre l'Union européenne et le Canada : une alliance gauche-droite de circonstance, en pleine campagne euro (...)
Les prix du blé se relancent après des frappes russes en Ukraine.
Sur la campagne de commercialisation 2023/24, 25 % du blé échangé sur le marché mondial est russe.
La domination de la Russie sur le commerce mondial du blé s’amplifie depuis le début de la guerre en Ukraine, entre volumes record, prix bradés, arrangements financiers complexes et partenariats strat (...)

Le colza rebondit de 5 €/t

Les prix du colza retrouvent leur mouvement haussier dans le sillage des cours du brut et du canola canadien.

Le blé progresse en direction des 200 €/t

Le regain de tension en mer Noire et un potentiel de production dégradé en Europe renforcent les prix du blé.
Les cours du blé restent sous haute pression après les annulations de ventes à la Chine.
À ce jour, sur 2023/24, la Chine représente 89 % des exportations françaises d’orge vers les pays tiers, indique FranceAgriMer.
Les exportations françaises de blé tendre et d’orge vers l’Empire du milieu étaient, fin février, bien au-dessus de leurs niveaux de l’an dernier à la même période.
Les cours du colza continuent de consolider, tandis que l’huile de palme reprend son souffle à la Bourse de Kuala Lumpur.
Le blé retrouve un peu de hauteur, tandis que les perspectives de production se dégradent en Europe.

Le blé décroche encore de 2 % à Chicago

Les prix du blé cèdent encore rapidement après de nouvelles rumeurs d’annulations d’achats par la Chine.
Les eurodéputés se sont prononcés pour reconduire l'exemption des droits de douanes pour les céréales venues d'Ukraine, mais en instaurant un "frein d'urgence" pour stabiliser les importations.
Les eurodéputés ont voté pour plafonner les importations ukrainiennes de céréales exemptes de droits de douane, au même titre que les œufs, la volaille ou le sucre. La mesure doit encore être négociée (...)
Le colza poursuit son léger mouvement de consolidation, malgré une réduction du potentiel de production allemand et un nouveau bond de l’huile de palme.

Le blé perd encore 3 €/t

Le blé repart rapidement dans le rouge face à une offre élevée.

Le blé US cède de nouveau du terrain

Les prix du blé reculent de nouveau à Chicago sous la pression de la concurrence russe. L’huile de soja poursuit en revanche sa rapide montée.
Les analystes se veulent prudents : « l'arrêt de la chute des cours du blé et du maïs ne signifie pas nécessairement que les céréales, et le blé en particulier, aient atteint un plancher ».
Après des mois de reflux, les cours des céréales se sont légèrement redressés ces derniers jours, signe pour les opérateurs d'une certaine « stabilisation », notamment pour le maïs, soutenu par des pr (...)
De nombreuses parcelles françaises et britanniques souffrent d'un excès d'eau.
Les semis de printemps en Europe de l’Ouest restent au centre des préoccupations, tandis que les pluies commencent à manquer aux US et en mer Noire.
Les cours du colza subissent des prises de bénéfices, tandis que l’huile de palme poursuit son rallye haussier.

Le blé repart à la baisse sous les 195 €/t

Le regain de compétitivité des origines russes sur la scène internationale et un potentiel d’exports revu à la baisse renvoient le blé dans le rouge.
« Entre décembre et janvier, l'Ukraine a exporté vers l'Europe plus d'un million de tonnes de blé tendre, l'équivalent avant la guerre du quota annuel d'exportations vers l'UE », pointe le syndicat.
Les céréaliers français, qui veulent voir réinstaurer des droits de douane pour les céréales importées d'Ukraine dans l'Union européenne, estiment « inévitable » que la mobilisation des agriculteurs r (...)

Le soja US rebondit vivement à Chicago

Le soja grimpe dans le sillage des huiles et face à la révision de la production brésilienne.

Le colza se stabilise sur les 430 €/t

Les prix du colza reculent légèrement sur fond de considérations techniques. La réduction des surfaces canadiennes et de la production brésilienne de soja apporte toutefois du soutien.
Les prix du blé reculent finalement sous le poids de nouvelles baissières, après trois séances de nette progression.

Le blé US gagne encore plus de 1,5 %

Les prix du blé enregistrent à nouveau des gains significatifs malgré les annulations de ventes de blé SRW à la Chine.
« Le prix du blé en Inde est totalement déconnecté du marché mondial »
Puissance agricole majeure, second producteur mondial de blé, l’Inde est aussi un « colosse aux pieds d’argile » particulièrement touché par le changement climatique. Monique Tran, conseillère aux aff (...)
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