Les articles concernant les marchés agricoles : céréales (blé, maïs, orge), oléagineux (colza, soja, tournesol), protéagineux, huiles et intrants (engrais, phytos, semences). Ils traitent du commerce et des échanges de produits agricoles en France, en Europe et dans le monde. Ils éclairent sur les tendances de prix, liées à l’équilibre entre offre et demande mais aussi aux aléas climatiques, à la géopolitique ou encore aux coûts de l’énergie.

Le blé européen grimpe au-dessus des 205 €/t

Une météo défavorable en France, en Russie et dans le Midwest motive une montée des prix du blé.
L'économie russe et son système financier restent relativement vulnérables, explique Julien Vercueil,  "avec une inflation élevée et un rouble faible"
Entre actions de la puissance publique et nouvelles alliances, comment l’économie russe s’est-elle adaptée à la situation de guerre et aux sanctions occidentales ?
Les cours du blé HRW retrouvent de la fermeté tandis que les conditions de culture se dégradent dans le Kansas.

Le colza retombe sous les 460 €/t

Le décrochage de l’huile de palme entraine le colza en territoire négatif.

Le blé grimpe timidement vers les 205 €/t

Les prix du blé restent attentistes dans l’attente des résultats du dernier appel d’offres du Gasc.

Le soja débute la semaine sur une perte de 1 %

Les cotations américaines subissent de nouveau la concurrence internationale dans un marché moins préoccupé par la situation au Moyen-Orient.

Le colza se stabilise dans un marché fébrile

Le colza hésite sur Euronext, dans un marché prudent face à la situation au Moyen-Orient.
Les prix du blé évoluent de manière prudente malgré les risques de production sur la prochaine campagne.
La réduction des potentiels de production en Amérique du Sud relance les cotations américaines à la hausse.
Les cours du colza s’appuient sur la faiblesse de la parité eurodollar pour se relancer à la hausse.

Le blé européen rebondit de 2 €/t

La rapide contraction de l’eurodollar et des conditions de culture dégradées en France relancent les prix du blé et du maïs à la hausse.
185 agriculteurs, parmi les 2 259 répondants à notre sondage, ont engagé plus de la moitié de leur récolte de blé tendre 2024.
8 % des lecteurs ayant répondu à notre sondage sur la commercialisation du blé tendre 2024  ont déjà engagé plus de la moitié de leur récolte 2024, 7 % entre un quart et la moitié, 19 % moins d’un qua (...)
Le ministère américain de l'Agriculture (USDA) a laissé inchangées, jeudi, ses estimations de récolte brésilienne de maïs et de soja pour la campagne en cours, décevant les opérateurs et provoquant un (...)
Le dernier rapport USDA et des ventes à l’international décevantes ont aspiré les prix des céréales en territoire négatif.

Le colza européen recule de 5 €/t

Les prix du colza repartent dans le rouge sur fond de considérations techniques et dans le sillage du soja.
Les prix du blé subissent un petit mouvement de retrait technique, dans un marché toutefois supporté par la contraction de l’eurodollar et des conditions climatiques défavorables dans l’hémisphère Nor (...)
Le blé HRW bondit face à des cartes météo plus avares que prévu en matière de précipitations.
Sur 2024/25, le Conseil international des céréales s'attend à une hausse de la production et de la consommation mondiales de blé, et à une baisse des échanges.
Production, consommation et échanges mondiaux de blé : le Conseil international des céréales livre ses prévisions pour la suite de la campagne de commercialisation 2023/24, et pour la campagne 2024/25 (...)

Le blé russe manque encore de pluies

En Russie, c'est le manque de pluies qui inquiète les producteurs de blé.
Le climat ne montre pas de réel signe d’amélioration en France, tandis que la Russie souffre encore en partie de manque de pluies.

Le colza grimpe de 5 €/t sur Euronext

Le colza reste bien orienté face à des perspectives de production européenne dégradées et à un secteur des huiles sous tensions.

Le blé rebondit de 2 €/t sur Euronext

Le blé réagit à l’escalade du conflit en Ukraine par un sensible rebond.
« Ce que voit le marché, c'est qu'Ukraine et Russie continuent à exporter davantage que l'an dernier », en blé comme en maïs, pointe Rich Nelson, d'Allendale.
Les cours du blé et du maïs piétinent des deux côtés de l'Atlantique, toujours pénalisés par une offre abondante, qui ne leur permet pas de bénéficier de l'essor d'autres matières premières, principal (...)
D’excellentes conditions de culture et des pluies favorables dans le Midwest plombent les cours du blé.
Plusieurs États de l'UE se sont alarmés mardi de l'impact d'une réglementation anti-déforestation pour les agriculteurs européens, redoutant « une bureaucratie excessive ».
Les Etats de l'UE et les eurodéputés se sont accordés lundi pour reconduire l'exemption de droits de douane sur les importations agricoles venant d'Ukraine, en l'assortissant de restrictions renforcée (...)
CR, CP et Modef veulent envoyer à l'État un « signal fort » dans un « contexte de colère des agriculteurs ».
Les trois syndicats agricoles minoritaires appellent mardi le chef de l'État à mettre en place les « prix planchers » promis lors de sa visite au Salon de l'agriculture, « condition n°1 » selon eux « (...)

Le colza rebondit de 3 €/t

La fermeté de l’huile de palme motive un retour au vert pour le colza européen.

Le blé UE cède près de 3 €/t

Les bonnes conditions de culture aux États-Unis renvoient le blé en territoire négatif.
Les prix des céréales se montrent hésitants à Chicago, tandis que les conditions climatiques se dégradent dans la Corn Belt.

Le colza perd 1 €/t dans le sillage des huiles

Les prix du colza perdent un peu de terrain, dans le sillage de cours des huiles plombés par les prises de bénéfices.

Le blé évolue en ordre dispersé sur Euronext

Les prix du blé hésitent malgré des conditions climatiques préoccupantes dans une partie de l’Europe.
Depuis sa création, l'OMC ne parvient pas à faire avancer le multilatéralisme.
Si les accords bilatéraux se multiplient ces dernières années, souvent au grand dam des agriculteurs, ils témoignent surtout de l’échec du multilatéralisme prôné par l’Organisation mondiale du commerc (...)

Le blé repart à la hausse à Chicago

Les tensions au Moyen-Orient et des conditions climatiques dégradées en Europe et en Russie tirent le marché américain à la hausse.
L'UE a exporté en 2023 bien davantage de produits agroalimentaires qu'elle n'en a importés, engrangeant un excédent record dépassant 70 milliards d'euros, tandis que ses importations en provenance d'U (...)
Les prix mondiaux des denrées alimentaires ont rebondi en mars, augmentant pour la première fois depuis juillet 2023, tirés vers le haut par la hausse des cours des huiles végétales, et malgré une nou (...)

Le colza rebondit de 4 €/t

Un potentiel de production en retrait relance les cours du colza européen à la hausse.

Le blé rebondit de près de 3 €/t

Les cours du blé repartent à la hausse face à des conditions de culture dégradées.
La planète maïs se concentre autour de quatre grands pays producteurs et exportateurs : les États-Unis, le Brésil, l'Argentine et l'Ukraine
Dépendance de l’UE au maïs non-OGM ukrainien, poids de la Chine, relation entre le Mexique et les États-Unis, etc. : le chercheur Sébastien Abis explique à quel point la géopolitique influence le marc (...)

Le colza perd 5 €/t sur Euronext

Les prix du colza repartent à la baisse, au sein d’un complexe oléagineux qui reprend son souffle après ses récents gains.

Le blé recule vers les 200 €/t

Le blé reste mis sous pression par la concurrence russe, malgré les inquiétudes concernant la prochaine récolte.
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