Actualité des marchés
Les articles concernant les marchés agricoles : céréales (blé, maïs, orge), oléagineux (colza, soja, tournesol), protéagineux, huiles et intrants (engrais, phytos, semences). Ils traitent du commerce et des échanges de produits agricoles en France, en Europe et dans le monde. Ils éclairent sur les tendances de prix, liées à l’équilibre entre offre et demande mais aussi aux aléas climatiques, à la géopolitique ou encore aux coûts de l’énergie.
Les prix du colza restent stables, partagés entre la hausse des huiles végétales et le retrait du soja.
Les craintes de production en mer Noire continuent de tirer le prix du blé à la hausse.
Le blé US a échoué à se redresser vendredi soir, face aux conditions climatiques en Russie.
Les cours du colza profitent du sursaut de l’huile de palme pour se redresser sensiblement.
Les cours du blé retrouvent un peu de fermeté, dans un marché toujours tendu face à la perte de potentiel en Europe de l’Ouest et en Russie.
Les cours du blé cèdent du terrain devant l’amélioration annoncée des conditions météo en mer Noire.
Les ministres européens du Commerce viennent d'approuver l'imposition de tarifs douaniers « prohibitifs » à partir du 1er juillet sur les produits agricoles russes importés dans l'UE.
Règles du commerce international, exception agricole, sécurité alimentaire mondiale : plusieurs raisons expliquent pourquoi les céréales russes importées en Europe depuis l'invasion de l'Ukraine étaie (...)
Le colza cède du terrain dans le sillage du soja et de la correction du prix des huiles.
Les prix du blé reculent face à des cartes météo plus optimistes en mer Noire et en Europe de l’Ouest.
La victoire n'est que symbolique, mais hautement politique: l'Assemblée nationale a adopté jeudi une proposition communiste pour demander au gouvernement de soumettre aux députés le traité de libre-é (...)
La progression des semis rassure outre-Atlantique et provoque un retrait du maïs et du soja.
Les cours mondiaux du blé continuent de grimper, avec pour principale boussole les prévisions météorologiques pour les grandes plaines céréalières de Russie, où les estimations de récolte ne cessent d (...)
Les excès de pluies en Europe de l’Ouest et la montée des températures en mer Noire restent au centre des préoccupations. Des pluies plus généreuses sont toutefois annoncées en Ukraine et en Russie.
Les risques de production en Europe de l’Ouest et la fermeté de l’huile de palme tirent le colza à la hausse.
Le potentiel de production réduit en Russie et une baisse des notations de culture aux États-Unis motivent une nouvelle hausse des cours du blé.
Les cours du blé continuent de grimper à Chicago après une nouvelle réduction du potentiel de production en Russie.
La France a produit plus de 4 millions de tonnes de sucre de betterave lors de la dernière campagne (2023-24), une production stable lui permettant de se maintenir à la première place en Europe, a ann (...)
Le colza se reprend timidement pour retrouver les 490 €/t, sur fond d’inquiétudes concernant la production européenne.
Le blé subit une correction après son bond de la veille, dans un marché encore préoccupé par les potentiels de production d’Europe de l’Ouest et de mer Noire.
Après plusieurs mois de conditions El Niño dans le Pacifique équatorial, c’est le phénomène La Niña qui devrait survenir à partir du mois d’octobre, synonyme de risques de sécheresse dans les grands p (...)
Les prix du colza enregistrent un léger retrait, dans le sillage de l’huile de palme et en l’absence de Chicago.
Les risques de production en Russie motivent une nouvelle montée appuyée des cours du blé.
Les craintes concernant la production russe maintiennent le blé US à la hausse.
La baisse des ventes de céréales françaises sur la scène internationale en 2023 a lourdement pesé sur l'excédent agroalimentaire du pays, en recul de 36 % par rapport à l'année précédente, à 6,5 milli (...)
Le colza accuse une petite perte technique, dans un marché toutefois encore sous tension face à des perspectives de production 2024 dégradées.
Les cours du blé retrouvent de la fermeté face à des craintes encore prononcées concernant la prochaine récolte.
Les cours du blé freinent devant des considérations techniques, tandis que le soja est pénalisé par des ventes décevantes.
Le colza continue de grimper en réaction aux risques de production en Europe et en Australie.
Les cours du blé et du maïs subissent un retrait technique, malgré des conditions climatiques encore préoccupantes chez les grands producteurs.
Des considérations techniques et une météo plus optimiste pour les cultures russes ont fait céder Chicago.
Manque d'eau en Russie et en Australie, trop de pluies en Europe : les courtiers des marchés agricoles ont les yeux rivés sur les prévisions météorologiques, plutôt défavorables aux récoltes en ce mom (...)
La France reste plongée sous les pluies, tandis qu’une partie de la Russie et de l’Ukraine continue de subir le manque d’apports pluvieux.
Le colza repart rapidement à la hausse dans le sillage de l’huile de soja.
Les prix du blé poursuivent leur rallye haussier face à la dégradation des potentiels de production en mer Noire.
Les cours du blé restent fermes face aux risques de production en mer Noire, tandis que la rapide avancée des semis américains pèse sur les prix du maïs et du soja.
Alors que la production et la consommation mondiales de colza s’annoncent très élevées sur la campagne 2024/25, le Conseil international des céréales s’attend à une hausse de 6 % des échanges, avec un (...)
Le colza repart subit de nettes pertes, sous le poids d’un retournement baissier du soja et des huiles végétales.
Les prix du blé accusent un retrait technique, mais les risques de production en mer Noire limitent les pertes.
La météo en Russie et en Ukraine motive une nouvelle flambée des prix du blé.
