Prix des céréales
Vous pouvez lire ici les articles sur les évolutions des prix des céréales (blé tendre, blé dur, orge, maïs) sur le marché physique et sur le marché à terme, sur le marché européen Euronext et sur le CBOT (Chicago board of trade) de Chicago.
Les cours du blé s’appuient sur quelques inquiétudes concernant la production allemande et d’Europe de l’Est pour repartir à la hausse.

Le blé et le soja continuent de plier sous la pression du renforcement du dollar. Le bond des cours du brut a toutefois tiré le maïs à la hausse.

Pas de trêve estivale cette année pour les marchés des céréales, confrontés des deux côtés de l'Atlantique aux incertitudes liées notamment à la guerre commerciale engagée par Donald Trump.
Le blé peine à trouver une direction sur Euronext, tandis que le maïs est pénalisé par le retrait des cotations à Chicago.

Les prix des céréales continuent de céder face au regain du dollar à Chicago.
Les prix du blé marquent le pas après avoir profité de l’affaiblissement de l’eurodollar pour s’offrir de nets gains lors de la séance de la veille.
La vive remontée du dollar et des taxes à l’exportation diminué en Argentine ont renvoyé les cotations américaines à la baisse.
Les prix du blé et du maïs profitent de l’affaiblissement de l’eurodollar pour se redresser, avec prudence.
Le blé repart en territoire négatif face à la pression de la moisson 2025.
Les prix du blé restent pénalisés par l’offre russe et américaine, tandis que la dégradation des cultures de maïs en France ne suffit pas à relancer la tendance.
Les prix du blé ont profité de bonnes ventes américaines pour se redresser.
Les prix du blé tentent de se redresser mais le poids de l’offre 2025 continue de peser.

De part et d'autre de l'Atlantique, les cours des céréales se sont de nouveau globalement maintenus cette semaine, en pleine saison de moissons et dans l'attente d'éventuels prochains accords commerci (...)
Un crop tour encourageant aux États-Unis a renvoyé les prix du blé à la baisse.
Les prix du blé restent mis sous pression par une offre abondante, malgré les retards de moisson en Russie.
Les prix du maïs ont cédé face à des conditions de culture très encourageantes dans la Corn Belt. Le blé a en revanche nettement grimpé.

Directeur de la collecte chez Soufflet Agriculture, François Pignolet dresse un premier bilan de la récolte 2025
Le poids de l’offre 2025 fait de nouveau reculer les cours du blé.
Les cours des céréales ont décliné à Chicago malgré des inspections très dynamiques dans les ports américains.
Les prix du blé hésitent faute de nouvelles fondamentales pour nourrir un mouvement haussier.
Le dollar perd un peu de valeur et motive ainsi une montée des prix des commodités américaines.
Les prix du blé gagnent encore du terrain, malgré le poids des nouvelles moissons sur le marché mondial.
Les cours des céréales ont cédé du terrain en réaction au rebond du dollar Index, tandis que le soja a poursuivi son rapide rebond.

La moisson 2025 s’annonce comme un millésime globalement satisfaisant pour les céréales, mais les prix ne suivent pas et risquent de peser sur des trésoreries déjà fragilisées.
Le blé Euronext profite d’un retrait de la parité eurodollar, malgré le poids de la nouvelle récolte et une demande encore restreinte.
La dégradation du dollar a permis une remontée des commodités américaines, malgré des fondamentaux peu porteurs.
Les cours du blé cèdent de nouveau du terrain face à une offre 2025 relativement généreuse.
Les prix du blé ont été pénalisés par la fermeté du dollar Index et une amélioration des conditions de culture aux États-Unis.
Les cours du blé tentent de s’appuyer sur une reprise de la demande pour se redresser.
Les prix du blé ont cédé face aux moissons et aux craintes concernant la guerre commerciale menée par Donald Trump.
Le bilan mensuel de l’USDA a provoqué une rapide contraction des prix à Chicago.

Après la récolte catastrophique de 2024, la moisson de blé s'annonce « plutôt bonne » en France, un « soulagement » face aux nombreux défis auxquels sont confrontés les agriculteurs dans le premier pa (...)
Anticipant une baisse de la production aux Etats-Unis, le ministère américain de l'Agriculture (USDA) a revu vendredi à la baisse ses estimations de stocks de maïs à l'échelle mondiale.
Les prix du blé consolident à la baisse après avoir rapidement grimpé la veille en réaction à une offre russe temporairement resserrée.
Un resserrement de l’offre russe a motivé un bond du blé, tandis que le maïs a échoué à grimper significativement malgré des ventes américaines en vive reprise.
Les prix du blé s’appuient sur l’affaiblissement de la parité eurodollar pour se redresser, malgré la concurrence des origines mer Noire.

Les surfaces de céréales bio poursuivent leur repli, et la chute de la collecte atteint environ 40 % sur la campagne de commercialisation 2024/25, amplifiée par les déconversions et la moisson 2024 di (...)
Des considérations techniques limitent les pertes du blé et du maïs, mais le soja reste sous pression.

La promesse de belles récoltes mondiales, avec en particulier des conditions « idylliques » pour le maïs américain en pleine floraison, la faible demande sur le marché international et l'incertitude s (...)
Les prix du blé profitent de considérations techniques et d’un affaiblissement de l’eurodollar, malgré un manque de compétitivité et une pression récolte encore lourde.