Actualité des marchés
Les articles concernant les marchés agricoles : céréales (blé, maïs, orge), oléagineux (colza, soja, tournesol), protéagineux, huiles et intrants (engrais, phytos, semences). Ils traitent du commerce et des échanges de produits agricoles en France, en Europe et dans le monde. Ils éclairent sur les tendances de prix, liées à l’équilibre entre offre et demande mais aussi aux aléas climatiques, à la géopolitique ou encore aux coûts de l’énergie.
Le blé et le maïs initient un petit rebond dans le sillage d’une reprise technique de Chicago.
Les pluies favorables dans la Corn Belt et l’avancée des récoltes de blé d’hiver maintiennent le marché américain dans le rouge.

Une tempête tropicale aux États-Unis, une récolte française de blé en chute, des rendements encore incertains en Russie : en dépit d'incertitudes, les marchés des céréales restaient nettement orientés (...)

Les averses perdurent en Allemagne, tandis qu’en Russie et en Ukraine, ce sont désormais les hautes températures et le manque de pluies qui préoccupent.
Les cours du blé cèdent de nouveau du terrain sous la pression des moissons russes et américaines.
Le colza continue de reculer, en réaction à une nette contraction des prix de l’huile de palme.
Le blé profite de considérations techniques pour légèrement rebondir, tandis que le maïs et le soja reculent en réaction à de meilleures conditions de culture.

La France a produit plus de sucre en 2023-24 mais vu ses exportations diminuer de plus de 3 %, notamment en raison de la forte concurrence de la production ukrainienne entrée libre de droits de douane (...)
Le colza cède sous la pression du complexe soja et de l’huile de palme, malgré une récolte décevante en France.
Les cours du blé sont poussés à la baisse par la concurrence internationale, malgré une récolte annoncée en net retrait par rapport à l’an dernier.
La pression des moissons russes et américains ont provoqué une chute du blé. Le maïs et le soja ont décroché en réaction à une météo plus favorable.

Promesse d’une force productive et exportatrice accrue mais aussi risque de déstabilisation des filières européennes et nécessité de prendre en compte le coût de la reconstruction et l’harmonisation d (...)
Les prix du colza entament la semaine sur un mouvement de correction baissière, dans le sillage du complexe soja.
Le blé enregistre une perte significative à la mi-séance, sous la pression des moissons de l’hémisphère Nord.
Les cours du blé ont engrangé des gains notables à Chicago après des ventes américaines dynamiques.

La péniche est chargée d'orge, prête pour un périple de plus de 250 kilomètres sur la Seine. La circulation sur le fleuve, « artère vitale » pour les céréales, sera contrariée pendant les Jeux olympiq (...)
Le prix de l'or a grimpé sur la semaine, poussé par les perspectives de baisse des taux de la Réserve fédérale américaine dès septembre, encore renforcées après la publication du rapport sur l'emploi (...)
Les prix du colza parviennent à conserver leurs récents gains malgré un retrait de l’huile de palme.
La dégradation des conditions de culture en France et de premières récoltes préoccupantes tirent encore les cours à la hausse.
Les prix des denrées alimentaires dans le monde sont restés globalement inchangés en juin, la baisse des cours des céréales étant compensée par un regain sur les marchés des huiles végétales, du beurr (...)
Les cours du colza accusent un petit retrait technique, mais conservent une large partie de leurs récents gains face à une tension des fondamentaux.
Les prix du blé et du maïs profitent de l’absence de Chicago pour repartir à la hausse.
La concurrence russe fait de nouveau plier les cours mondiaux du blé.

Quatrième plus gros producteur européen, la Roumanie a commencé à moissonner son blé tendre avec trois semaines d’avance. Les volumes nationaux et la qualité semblent au rendez-vous, mais les rendemen (...)

Les prix mondiaux du blé oscillent sur les marchés, en attendant les moissons qui débutent dans l'hémisphère Nord et apporteront une clarification sur la qualité et les volumes mondiaux disponibles po (...)

La France et l’Allemagne restent touchées par des pluies excessives, tandis qu’en mer Noire c’est à l’inverse le manque d’apport qui risque de dégrader les cultures de printemps.
Les prix du colza marquent une pause après des gains notables enregistrés lors des précédentes séances.
Les cours du blé reculent de nouveau face à la concurrence mer Noire et à l’avancée des récoltes américaines.
Les prix du blé reculent face à la rapide avancée des moissons américaines, tandis que les conditions de culture des maïs continuent de se dégrader.
Le colza profite d’une vive accélération des huiles végétales pour retrouver le seuil critique des 500 €/t.
Le blé consolide face à l’avancée des moissons américaines, mais le maïs reste orienté à la hausse en réaction à la détérioration des cultures outre-Atlantique.
Le blé repart à la hausse face aux récoltes russe et européenne attendue en retrait. Le maïs est en revanche resté en retrait, tandis que l’huile de soja a flambé de 4 %.
Les prix du colza grimpent en réaction à une météo défavorable au Canada et à la contraction estimée de la production d’huile de palme en Malaisie.
Le blé repart à la hausse face à des perspectives de production dégradées en Europe de l’Ouest.

Le cours du maïs américain est tombé vendredi à son plus bas niveau depuis trois ans et demi, torpillé par deux rapports du ministère de l'agriculture (USDA) qui ont fait état de surfaces cultivées et (...)
Le blé et le maïs américain ont enregistré de nettes pertes en réaction à des stocks trimestriels plus élevés qu’anticipés.
Les prix du colza reprennent leur marche haussière en réaction à des récoltes décevantes et au rebond du canola canadien.
Les prix du blé s’engagent dans le sillage haussier des cotations américaines, tandis que le climat en France se dégrade de nouveau.
Des ventes dynamiques à l’international ont motivé un rapide retournement haussier des prix du blé à Chicago.

Le colza bondit de nouveau dans le sillage du canola canadien et des risques de production dans la Corn Belt.