Actualité des marchés
Les articles concernant les marchés agricoles : céréales (blé, maïs, orge), oléagineux (colza, soja, tournesol), protéagineux, huiles et intrants (engrais, phytos, semences). Ils traitent du commerce et des échanges de produits agricoles en France, en Europe et dans le monde. Ils éclairent sur les tendances de prix, liées à l’équilibre entre offre et demande mais aussi aux aléas climatiques, à la géopolitique ou encore aux coûts de l’énergie.

Les conditions climatiques restent grandement favorables au bon développement des cultures dans l’ensemble de l’hémisphère Nord.
Les prix du colza continuent de reculer sous la pression du canola canadien.
Les prix du blé continuent de reculer face à l’arrivée des récoltes de l’hémisphère Sud et à la concurrence mer Noire.
L'ancien chef de l'Organisation mondiale du commerce, Pascal Lamy, a déclaré mercredi que le projet d'accord de libre-échange entre l'UE et des pays du Mercosur, massivement refusé à l'Assemblée natio (...)

L'Assemblée nationale a affiché mardi son soutien au gouvernement français dans son opposition au projet d'accord de libre-échange entre l'UE et le Mercosur, tel qu'il est envisagé par la Commission e (...)
L’annonce par Donald Trump de frais douaniers sur les importations mexicaines, canadiennes et chinoises ont plombé les cotations US.

Ces dernières semaines, les prix mondiaux et français du blé dur restent quasiment figés et cela pourrait durer, analyse Sébastien Poncelet, directeur de développement d’Argus Media, expert des marché (...)
Les prix du blé enregistrent un net rebond, tandis que le maïs reste ralenti par les nouvelles moissons.
Les prix du colza s’appuient sur la reprise du soja et de l’huile de palme pour se maintenir dans le vert.
Le blé continue de reculer à Chicago face à une météo favorable dans le Midwest et à un marché moins préoccupé par la situation en mer Noire.
Les prix du colza tentent un rebond après les lourdes pertes subies sur Euronext la semaine dernière.
Les prix du blé creusent rapidement leurs pertes dans un marché moins préoccupé par le conflit ukrainien.
Le renchérissement du dollar et des conditions de culture favorables dans le Midwest ont dégradé les cours des céréales américaines.
La Pologne s'opposera au traité de libre-échange de l'Union européenne avec les pays du Mercosur, a indiqué vendredi un vice-Premier ministre polonais, la décision définitive devant être prise la sema (...)
Le colza tente un rebond après avoir lourdement décroché lors de la séance de la veille, sous la pression des origines importées.
Les prix du blé se stabilisent au sein d’un marché encore nerveux face à la situation en mer Noire.
Le poids du dollar et d’une potentielle détérioration des relations commerciales sino-américaines maintiennent la pression à Chicago.

La France a tenté jeudi à Bruxelles de convaincre d'autres pays de l'Union européenne de s'opposer à l'accord UE-Mercosur en préparation, mais nombre d'entre eux hésitent encore à se prononcer.
Les prix du colza cèdent encore du terrain sous la pression du soja et d’un retournement de tendance de l’huile de palme.
Les prix du blé poursuivent leur mouvement de reprise dans un marché particulièrement nerveux après les frappes ukrainiennes en Russie.
Les prix du blé restent fermes face à l’escalade du conflit ukrainien, tandis que le soja reste malmené à Chicago.

Le climat froid et humide suscite encore quelques inquiétudes en France, tandis que le blé profite de conditions plus favorables aux États-Unis et en Russie.

Soutenus par le regain de tensions entre l'Ukraine et la Russie, les cours du blé sont remontés sur les marchés mondiaux cette semaine, tandis que les bonnes perspectives de récolte en Amérique du Sud (...)
Les prix du colza subissent la pression du complexe soja, malgré un marché européen sous tension.
Le blé repart à la baisse dans un marché toutefois encore nerveux face à la situation en mer Noire.
Les prix du blé sont restés relativement fermes, tandis que le maïs et le soja continuent de subir le poids des incertitudes politiques.

Les relations diplomatiques entre la France et l’Algérie se tendent encore depuis l’été, ce qui rebat les cartes des exportations françaises de blé tendre. (Article paru initialement le 15 novembre 20 (...)

Avec son soja, son maïs, sa canne à sucre, son café ou encore sa viande, le Mercosur, dont des pays négocient un accord de libre-échange avec l'Union européenne, est une grande puissance agricole mond (...)
Les prix du colza augmentent encore légèrement malgré un complexe soja moins dynamique.
Les prix du blé maintiennent un petit mouvement haussier au sein d’un marché de nouveau préoccupé par le conflit ukrainien.

Un débat suivi d'un vote sur le traité de libre-échange entre l'UE et des pays du Mercosur, que la France rejette en l'état, va se tenir à l'Assemblée nationale le 26 novembre, a annoncé mardi la prés (...)

La production européenne est en baisse de 10 % pour le blé tendre et de 5,4 % pour le maïs par rapport à l’an passé, estime la Commission européenne. Les exports sur 2024/25 sont eux aussi attendus en (...)
Les cours du blé ont bondi face au risque d’une nouvelle escalade du conflit en mer Noire.
Les prix du colza restent dans le vert, au sein d’un marché européen sous tension et face à une offre canadienne finalement moins généreuse qu’annoncée.
Les cours du blé profitent de leur regain de compétitivité pour reprendre de la hauteur, tandis que le conflit ukrainien inquiète de nouveau.
France, Allemagne, Italie, Pologne... dans les grands pays producteurs d'Europe, les organisations agricoles dénoncent le projet d'accord de libre-échange entre l'UE et les pays latino-américains du M (...)
Les prix du blé du maïs et du soja ont profité de considérations techniques pour retrouver le chemin de la hausse à Chicago.
Les prix du colza profitent du regain de l’huile pour tenter, une nouvelle fois, de rebondir.
Le blé européen se relance face à des cartes météo moins favorables en Europe de l’Ouest.
Le projet d'accord de libre échange UE-Mercosur promet d'ouvrir un peu plus le marché européen aux produits latino-américains, une perspective qui alarme le secteur agricole. Bruxelles jure qu'il s'ag (...)