Les articles concernant les marchés agricoles : céréales (blé, maïs, orge), oléagineux (colza, soja, tournesol), protéagineux, huiles et intrants (engrais, phytos, semences). Ils traitent du commerce et des échanges de produits agricoles en France, en Europe et dans le monde. Ils éclairent sur les tendances de prix, liées à l’équilibre entre offre et demande mais aussi aux aléas climatiques, à la géopolitique ou encore aux coûts de l’énergie.
Les ventes US accélèrent finalement après d'importants achats chinois.
La dernière quinzaine a été marquée par un retour remarqué de la Chine sur le marché des importations. L’USDA a en effet annoncé de nombreuses ventes de maïs US ancienne récolte à l’empire du Milieu, (...)

Le colza bondit de 10 €/t sur Euronext

Le risque d’une suspension des exportations russes d’huile de tournesol et une rapide contraction de l’eurodollar poussent le colza à la hausse.
Peu avant 14h00, le blé Euronext à échéance mai 2023 s'élançait de 8,50 €/t, à 253,50 €/t (©Pixabay)
Une potentielle suspension des exportations russes et un regain de la demande chinoise en maïs relancent les prix à la hausse.
Presque 12 Mt de blé tendre français ont été exportés à huit mois de campagne. (<a href="https://stock.adobe.com/fr/contributor/208628952/s-leitenberger?load_type=author&prev_url=detail" target="_blank">©S. Leitenberger</a> - Stock.adobe.com)
FranceAgriMer signale une baisse des estimations relatives aux exportations de blé tendre sur la campagne de commercialisation 2022/23, côté France comme côté UE. Petit rabotage aussi pour les importa (...)
La concurrence du soja brésilien et des ventes à l’international décevantes maintiennent Chicago dans le rouge.
Les précipitations s'annoncent encore généreuses sur la fin du mois. (©PixaBay)
Après une fin janvier et un mois de février extrêmement sec, le climat s’est nettement amélioré ces dernières semaines dans l’Hexagone. Des cumuls de précipitations significatifs ont en effet balayé l (...)

Le colza rebondit de 6 €/t sur Euronext

Le colza retrouve finalement le chemin de la hausse, dans un mouvement toutefois encore entravé par le renforcement de l’eurodollar et la compétitivité des origines d’import.
Les cours du blé et du maïs enchainent une nouvelle performance baissière sous le poids de la concurrence internationale d'une météo plus favorable.
En raison d'une baisse annoncée des surfaces et des rendements, la production mondiale de blé atteindrait 787 Mt en 2023/24, contre 801 Mt en 2022/23 (<a href="https://pixabay.com/fr/users/klaber-51/" target="_blank">©klaber</a>, AdobeStock)
Pour la campagne de commercialisation 2023/24, le Conseil international des céréales prévoit une hausse de la production et de la consommation de céréales à l'échelle mondiale, une contraction des sto (...)
Les risques de crise financière et un climat US plus favorable ont pesé sur les cours outre-Atlantique.
Le blé HRW américain a subi une nouvelle chute des températures critique. (©Pixabay)
L’amélioration climatique en France se confirme tandis que les États-Unis ont subi une nouvelle vague de froid critique.

Liquidation générale sur le marché européen

 Blé, maïs et colza continuent leur dégringolade sur Euronext. (©<a href="https://stock.adobe.com/fr/contributor/206851373/arsenii?load_type=author&prev_url=detail" target="_blank">Arsenii/Adobe Stock</a>)
Rien ne semble pouvoir enrayer la chute des prix du blé, maïs et colza sur le marché européen : ce repli général, en dépit de l'incertitude sur le corridor maritime ukrainien, est alimenté par l'impor (...)

L'huile de tournesol et de colza en chute libre

L'huile de palme perd sa compétitivité sur le marché européen
Le colza et le tournesol subissent actuellement une chute vertigineuse de près de 100 €/t depuis le début du mois. Les flux d’imports de tournesol ukrainien ainsi que de colza / canola australien ont (...)

Le blé décroche de 6 €/t sur Euronext

Les risques macroéconomiques et une concurrence compétitive tirent rapidement les céréales à la baisse.
Le colza chute en direction des 400 €/t (<a href="https://pixabay.com/fr/users/congerdesign-509903/" target="_blank">©congerdesign</a>, Pixabay)
Les risques financiers et des importations européennes très élevées enferment le colza dans sa spirale négative.
Sur la campagne 2022/23, la France aurait produit 11,39 Mt d'orge et en exporterait 6,03 Mt. (<a href="https://stock.adobe.com/fr/contributor/203017580/martinlisner?load_type=author&prev_url=detail" target="_blank">©martinlisner</a>, AdobeStock)
Au regard du dynamisme des envois vers la Chine en janvier, février et mars, FranceAgriMer a relevé son estimation des exportations d'orge française en 2022/23.
Les cours américains reculent sèchement dans un marché mondial plombé par les craintes macroéconomiques et la concurrence mer Norie.
Les cours du blé enregistrent un rebond très timide tandis que le maïs poursuit son retrait.
Le colza européen parvient à se stabiliser après une longue série de séances dans le rouge.
Bruxelles propose d'allouer 29,5 millions d'euros à la Pologne, 16,75 millions à la Bulgarie et 10,05 millions à la Roumanie. (<a href="https://stock.adobe.com/fr/contributor/210186467/mariyka-lnt?load_type=author&prev_url=detail" target="_blank">©Mariyka LnT</a>, AdobeStock)
La Commission européenne a annoncé lundi vouloir puiser dans une réserve de crise pour soutenir les cultivateurs en Pologne, Roumanie et Bulgarie, déstabilisés par l'afflux d'importations agricoles uk (...)
Les céréales US ont rapidement reculé après la prolongation du corridor sécurisé en mer Noire. Le soja grimpe à nouveau sous l'impulsion d'une activité portuaire dynamique.
Depuis août 2022, l'initiative céréalière en Mer noire a permis d'exporter environ 25 Mt de produit agricoles ukrainiens (©AdobeStock)
L’accord permettant les exportations agricoles depuis l’Ukraine via un corridor sécurisé a été renouvelé samedi. Mais jusqu’à quand ? La Russie avertit qu’elle s’opposera à une extension au-delà du 18 (...)
Les chargements de blé dans le port de Rouen ont marqué un coup d'arrêt depuis un mois.
Les tensions sociales en France viennent aussi impacter le marché des grains. Depuis le début du mois, de nombreux problèmes logistiques sont en effet rapportés sur le fret intérieur et le portuaire. (...)
Les prix du colza dévissent à nouveau face aux risques d’une crise financière.

Le blé et le maïs en retrait de 3 €/t

Les cours du blé et du maïs reculent dans un marché secoué par les craintes liées au secteur financier.
La Turquie espère toujours que l'accord international sur l'exportation de céréales d'Ukraine -crucial pour tempérer la crise alimentaire dans le monde - pourra être prolongé de 120 jours et s'active (...)

Le blé accélère son rebond à Chicago

Les céréales américaines engagent un rebond en l’absence d’accord concernant le renouvellement du corridor sécurisé en mer Noire.
Les stocks d'orge en fin de campagne sont attendus à des niveaux très élevés.
Dans son dernier bilan mensuel, FranceAgriMer a relevé de 200 kt le potentiel d’exports français d’orge vers les pays tiers, à 3 Mt (3,38 Mt l’an dernier). La seconde partie de campagne est en effet m (...)
Les cours des céréales évoluent en petite baisse sous la pression des origines mer Noire.
Les cours du colza se stabilisent dans un marché nerveux. Les potentiels de production de soja en Argentine continuent toutefois de s’écrouler.
L'Initiative céréalière de la Mer Noire a permis d'exporter des dizaines de millions de tonnes de céréales sur les marchés mondiaux. (©Pixabay)
Les discussions sur l'accord international sur l'exportation de céréales d'Ukraine, dont le maintien au-delà de samedi semble incertain en raison d'un désaccord entre Moscou et Kiev sur sa durée, se p (...)

Les cours des engrais toujours à la baisse

Les prix des engrais poursuivent leur mouvement baissier, en lien avec la chute des prix du gaz et l'abondance de l'offre. (©AdobeStock)
Entre chute des prix du gaz, faible demande saisonnière et offre conséquente, les cours des engrais sont, pour la plupart, toujours orientés à la baisse.

Des ventes à la Chine portent le maïs US

Les cotations américaines ont évolué en ordre dispersé jeudi soir dans un marché extrêmement nerveux. De bonnes ventes ont toutefois soutenu les cours du maïs.
Les exportations et consommation décrochent en France.
Loin de ralentir, les exportations ukrainiennes de maïs maintiennent un rythme très élevé et dépassent désormais le rythme enregistré l’an dernier à la même période (19,9 Mt depuis le 1er juillet 2022 (...)

Le blé européen retombe sous les 270 €/t

Le marché est de nouveau mis sous pression par la compétitivité des origines mer Noire. Les négociations concernant le corridor sécurisé restent toutefois au centre des attentions.
Les risques qui pèsent sur le marché financier et le décrochage des cours du brut continuent de tirer le colza à la baisse.
En début de semaine, la faillite de la banque SVB a conduit à une dépréciation du dollar US par rapport aux autres monnaies (<a href="https://stock.adobe.com/fr/contributor/208380011/dilok?load_type=author&prev_url=detail" target="_blank">©Dilok</a>, AdobeStock)
Des deux côtés de l’Atlantique, les banques centrales relèvent fortement leurs taux directeurs pour contrer l’inflation. Une politique qui engendre des risques sur la croissance économique, explique F (...)
Les prix des céréales grimpent à Chicago malgré le bond du billet vert.
Pluie sur du blé (©Pixabay)
Les pluies soulagent les cultures françaises mais des apports supplémentaires sont nécessaires. Aux US, la nouvelle vague de froid en provenance du Canada est observée avec attention.
Depuis août 2022, l'« Initiative de la mer Noire » signée entre Kiev, Moscou, l'Onu et la Turquie a permis de sortir plus de 24 Mt de céréales et oléagineux d'Ukraine, via un corridor d'export sécurisé (<a href="https://stock.adobe.com/fr/contributor/200848065/aleksandr-lesik?load_type=author&prev_url=detail" target="_blank">©Aleksandr Lesik</a>, AdobeStock)
Les marchés agricoles sont « à la fois rassurés et déçus » : l'accord russe pour une prolongation du corridor maritime ukrainien a soulagé les opérateurs, mais cette reconduction pour « seulement 60 j (...)
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