Les articles concernant les marchés agricoles : céréales (blé, maïs, orge), oléagineux (colza, soja, tournesol), protéagineux, huiles et intrants (engrais, phytos, semences). Ils traitent du commerce et des échanges de produits agricoles en France, en Europe et dans le monde. Ils éclairent sur les tendances de prix, liées à l’équilibre entre offre et demande mais aussi aux aléas climatiques, à la géopolitique ou encore aux coûts de l’énergie.
Pour 2023, « on baigne dans l'incertitude pour le blé et le maïs », selon Dax Wedemeyer, de US Commodities.  (©<a href="https://pixabay.com/fr/photos/bl%c3%a9-grain-des-graines-agriculture-2205569/" target="_blank">Skyradar/Pixabay</a>)
Un an après le début de l'invasion russe de l'Ukraine, les cours mondiaux des céréales sont retombés à leur niveau d'avant le conflit, un point d'équilibre précaire dans une « ambiance de guerre froid (...)
L'absence de pluies significatives menace les cultures françaises. (©<a href="https://pixabay.com/fr/photos/arbre-hiver-neige-du-froid-paysage-7783727/" target="_blank">Albrecht Fietz/Pixabay</a>)
L’absence de pluies et l’arrivée d’une vague de froid en France risquent de causer des pertes de potentiels. En Russie en revanche, les conditions climatiques sont désormais rassurantes.
Le prix de l'huile de colza à Rotterdam gagne en compétitivité.
Les prix des huiles à Rotterdam ont enregistré un rapide déclin depuis le début de la campagne. La concurrence internationale et une demande en retrait ont notamment participé à ce mouvement. L’huile (...)

Le colza s’enfonce à nouveau de 5 €/t

Les prix du colza perdent à nouveau du terrain malgré la fermeté du palme et les risques de production sur le soja argentin.
Le blé recule face à la compétitivité de l’origine mer Noire, tandis que le maïs grimpe en réaction au climat argentin.
D'après le Conseil international des céréales, la production mondiale de maïs serait en baisse de 67 Mt par rapport à la campagne précédente, une réduction de plus de 5 %. (<a href="https://stock.adobe.com/fr/contributor/204966389/tendo23?load_type=author&prev_url=detail" target="_self">©tendo23</a>, AdobeStock)
Malgré des hausses d'une année sur l'autre pour le blé, l'orge et l'avoine, la production mondiale de céréales devrait baisser de 42 Mt cette campagne par rapport à 2021/22, d'après le Conseil interna (...)

Le blé US plombé par son manque de compétitivité

Le blé US enregistre des pertes notables, tandis que le maïs et le soja reprennent leur marche haussière.
Les exportations canadiennes restent en deça des précédentes campagnes.
Le Canada retrouve sur cette campagne un rythme d’exports bien plus dynamique. La précédente récolte avait en effet été marquée par une production catastrophique qui avait de fait provoqué une présenc (...)

Le colza progresse timidement dans le sillage du soja

Les risques de production en Argentine poussent légèrement le colza à la hausse.

Le blé recule sous les 290 €/t

La pression de l’origine mer Noire tire le blé à la baisse, tandis que le maïs se raffermit face aux risques de production en Argentine.
Selon la dernière estimation de FranceAgriMer, la France devrait exporter 17,16 Mt de blé tendre en 2022/23, dont 10,45 Mt vers les pays tiers (<a href="https://stock.adobe.com/fr/contributor/201816413/tarasylo?load_type=author&prev_url=detail" target="_blank">©Tarasylo</a>, AdobeStock)
FranceAgriMer a réduit de 150 000 t l’objectif d’exports de blé tendre français vers les pays tiers en 2022/23, en raison de la forte concurrence de la mer Noire à l’international.
Jusqu'où peut-on baisser la dose d'azote pour préserver la performance technico-économique du blé tendre ? (©Terre-net Média)
Dans un contexte de prix des engrais élevés, une réflexion s’impose pour optimiser la rentabilité technico-économique de la culture de blé pour la campagne 2022-2023.
Les températures ont rapidement chuté en Argentine. (©WorldAgWeather)
Les conditions climatiques en Argentine ne cessent de se dégrader. Malgré quelques précipitations enregistrées fin janvier, la majeure partie du pays continue de souffrir d’un déficit hydrique majeur (...)

Le colza s'enfonce de près de 10 €/t

Le colza décroche de près de 10 €/t sur Euronext malgré la montée du prix de l'huile de palme et des conditions climatiques préoccupantes en Argentine.

Les céréales se stabilisent en l'absence de Chicago

Euronext évolue sans tendance claire en l'absence des marchés américains.
En 2023/24, les exportations ukrainiennes pourraient n'être que de 9,5 Mt pour le blé et 19 Mt pour le maïs, contre des moyennes quinquennales autour de respectivement 18 Mt et 25 Mt, selon le CIC. (<a href="https://stock.adobe.com/fr/contributor/207580155/oleksandra?load_type=author&prev_url=detail" target="_blank">©Oleksandra</a>, AdobeStock)
Si les exports céréaliers de l'Ukraine se sont maintenus en 2022/23 par rapport à la moyenne quinquennale, ils devraient chuter sur la prochaine campagne, notamment à cause d'une production attendue e (...)

Le climat argentin fait monter les prix US

Les risques climatiques en Amérique du Sud relancent les prix US à la hausse.
FranceAgriMer délivre des notations de culture relativement élevées.
Comme chaque année, FranceAgriMer a publié à la mi-février ses premières notations de cultures d’hiver de la campagne. Le taux de blé tendre « bon à très bon » ressort à 93 % (95 % l’an dernier), tand (...)

Le colza UE pénalisé par le pétrole

Le colza est tiré à la baisse par les craintes macroéconomiques malgré des conditions de cultures de soja préoccupantes en Argentine et un vif rebond des cours de l'huile de palme.

Le blé Euronext retombe sous les 290 €/t

Les prix du blé subissent à nouveau la concurrence russe. Les conditions de cultures de maïs en Argentine demeurent toutefois préoccupantes.

Chicago perd à nouveau du terrain

Une économie mondiale peu porteuse et la concurrence du blé russe et du soja brésilien laissent Chicago dans le rouge.
À 927,5 €/t le 9 septembre, l’urée départ port était descendue à 412,5 €/t le 10 février (<a href="https://stock.adobe.com/fr/contributor/206118151/kyrychukvitaliy?load_type=author&prev_url=detail" target="_blank">©kyrychukvitaliy</a>, AdobeStock)
La tendance à la baisse se poursuit pour les engrais azotés, à la faveur de la décrue des prix du gaz naturel. La demande reste mesurée et l’offre importante sur le marché européen.

Les cultures françaises sous stress hydrique

Un déficit hydrique notable se creuse en France. (©WorldAgWeather)
Nous évoquions au début du mois le risque concret d’une dégradation des conditions de culture en France. Depuis, l’absence de précipitations s’est effectivement confirmée et les cartes météo ne montre (...)

Le colza en légère baisse dans le sillage du soja

La pression du complexe soja tire légèrement le colza à la baisse. Les cours des huiles retrouvent toutefois de la hauteur.

Le blé et le maïs en repli de 3€/t sur Euronext

Les céréales européennes creusent leurs pertes à la mi-séance face aux améliorations climatiques aux US.
La France a exporté 220 000 t d'orge en Chine en janvier, et 100 000 t en février (<a href="https://stock.adobe.com/fr/contributor/208628952/s-leitenberger?load_type=author&prev_url=detail" target="_blank">©S. Leitenberger</a> - Stock.adobe.com )
Les prévisions d’exportation d’orge française sur 2022/23 viennent d’être revues en hausse en 350 000 t, un bond lié au regain de demande côté chinois sur la seconde partie de la campagne.

Chicago cède à nouveau sous le poids du dollar

La fermeté du dollar, un climat plus favorable dans le Midwest et une trituration décevante font plier Chicago.
Les combats s'intensifient en Ukraine, et la Russie menace de s'opposer à la reconduction du corridor d'export sécurisé en Mer noire (<a href="https://stock.adobe.com/fr/contributor/206399075/barks?load_type=author&prev_url=detail" target="_blank">©barks</a>, AdobeStock)
« La moindre rumeur fait sursauter le marché » : l'incertitude grandissante sur l'avenir du corridor maritime agricole ukrainien a fait remonter les cours du blé et du maïs sur le marché européen, au (...)

Le manque de pluies menace les cultures françaises

Les cultures françaises manquent de précipitations depuis plusieurs semaines. (©Pixabay)
Le manque de précipitations en France est préoccupant, tandis qu’aux US, en Russie et en Argentine les améliorations climatiques se confirment.
Les exportations françaises sont en avance sur l'objectif FranceAgriMer.
Dans son dernier bilan, FranceAgriMer a finalement révisé à la baisse de 150 kt le potentiel d’exports français de blé tendre vers les pays tiers, à 10,45 Mt (8,8 Mt l’an dernier). Les exportations in (...)

Le blé et le maïs en retrait face aux 300 €/t

La résistance des 300 €/t et un potentiel d’exports français révisé à la baisse tirent les cours à la baisse.

Le colza en recul de 5 €/t après l'inflation US

Des inquiétudes macroéconomiques et des surfaces de colza révisées à la hausse pèsent sur les prix du colza.

La France a semé beaucoup plus de tournesol en 2022

En France, le choix du tournesol a été dicté par les prix record atteints en 2022 par l'oléagineux sur les marchés. (©Terre-net Média)
Les semis d'hiver de 2022 en France montrent une nette augmentation des surfaces en tournesol et soja, une tendance qui s'explique notamment du fait de la guerre en Ukraine, selon un bilan présenté ma (...)
La sécheresse de ces derniers mois a sérieusement entamé les potentiels de production du soja argentin. (<a href="https://stock.adobe.com/fr/contributor/200463545/sima?load_type=author&prev_url=detail" target="_blank">©sima</a>, AdobeStock)
Les conditions sèches et chaudes qui pèsent sur l’Argentine depuis plusieurs mois mènent à une réduction importante des prévisions pour la récolte de soja à venir.

Une météo plus favorable fait reculer le blé US

Chicago recule mais l’escalade du conflit ukrainien maintient une forte tension dans le marché.
La Russie a fixé à 25,5 Mt son quota d'exportation de céréales entre le 15 février et le 30 juin 2023, contre 11 Mt l'an dernier sur la même période. (©miklyxa, <a href="https://stock.adobe.com/fr/images/industrial-seaport-novorossiysk-top-view-bulk-carrier-multipurpose-or-general-cargo-enters-the-port-using-tugs/465037662?prev_url=detail" target="_blank">AdobeStock</a>)
L’avenir du corridor d’export de produits agricoles ukrainiens est incertain, si l’en croit plusieurs diplomates russes ces derniers jours. L’un d’eux a ainsi jugé « inapproprié » son maintien au vu d (...)

Le colza en légère hausse au-dessus des 555 €/t

Le colza tente de se maintenir dans le vert malgré le rebond de la parité eurodollar.

Le blé hésite devant la barrière des 300 €/t

L’escalade du conflit en Ukraine et les conditions climatiques en Amérique du Sud poussent difficilement les prix du blé et du maïs à la hausse.
Le risque d’un non-renouvellement du corridor sécurisé en mer Noire et des conditions climatiques sous surveillance en Amérique du Sud relancent Chicago à la hausse.
Les stocks chinois de céréales représenteraient 20 % de la consommation mondiale (©AdobeStock)
Entre constitution de stocks céréaliers et restrictions aux exportations d’engrais, la politique de la Chine pour assurer sa sécurité alimentaire influence les équilibres globaux et contribue aux prix (...)
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