Actualité des marchés
Les articles concernant les marchés agricoles : céréales (blé, maïs, orge), oléagineux (colza, soja, tournesol), protéagineux, huiles et intrants (engrais, phytos, semences). Ils traitent du commerce et des échanges de produits agricoles en France, en Europe et dans le monde. Ils éclairent sur les tendances de prix, liées à l’équilibre entre offre et demande mais aussi aux aléas climatiques, à la géopolitique ou encore aux coûts de l’énergie.

Un an après le début de l'invasion russe de l'Ukraine, les cours mondiaux des céréales sont retombés à leur niveau d'avant le conflit, un point d'équilibre précaire dans une « ambiance de guerre froid (...)

L’absence de pluies et l’arrivée d’une vague de froid en France risquent de causer des pertes de potentiels. En Russie en revanche, les conditions climatiques sont désormais rassurantes.

Les prix des huiles à Rotterdam ont enregistré un rapide déclin depuis le début de la campagne. La concurrence internationale et une demande en retrait ont notamment participé à ce mouvement. L’huile (...)
Les prix du colza perdent à nouveau du terrain malgré la fermeté du palme et les risques de production sur le soja argentin.
Le blé recule face à la compétitivité de l’origine mer Noire, tandis que le maïs grimpe en réaction au climat argentin.

Malgré des hausses d'une année sur l'autre pour le blé, l'orge et l'avoine, la production mondiale de céréales devrait baisser de 42 Mt cette campagne par rapport à 2021/22, d'après le Conseil interna (...)
Le blé US enregistre des pertes notables, tandis que le maïs et le soja reprennent leur marche haussière.

Le Canada retrouve sur cette campagne un rythme d’exports bien plus dynamique. La précédente récolte avait en effet été marquée par une production catastrophique qui avait de fait provoqué une présenc (...)
Les risques de production en Argentine poussent légèrement le colza à la hausse.
La pression de l’origine mer Noire tire le blé à la baisse, tandis que le maïs se raffermit face aux risques de production en Argentine.

FranceAgriMer a réduit de 150 000 t l’objectif d’exports de blé tendre français vers les pays tiers en 2022/23, en raison de la forte concurrence de la mer Noire à l’international.

Dans un contexte de prix des engrais élevés, une réflexion s’impose pour optimiser la rentabilité technico-économique de la culture de blé pour la campagne 2022-2023.

Les conditions climatiques en Argentine ne cessent de se dégrader. Malgré quelques précipitations enregistrées fin janvier, la majeure partie du pays continue de souffrir d’un déficit hydrique majeur (...)
Le colza décroche de près de 10 €/t sur Euronext malgré la montée du prix de l'huile de palme et des conditions climatiques préoccupantes en Argentine.
Euronext évolue sans tendance claire en l'absence des marchés américains.

Si les exports céréaliers de l'Ukraine se sont maintenus en 2022/23 par rapport à la moyenne quinquennale, ils devraient chuter sur la prochaine campagne, notamment à cause d'une production attendue e (...)
Les risques climatiques en Amérique du Sud relancent les prix US à la hausse.

Comme chaque année, FranceAgriMer a publié à la mi-février ses premières notations de cultures d’hiver de la campagne. Le taux de blé tendre « bon à très bon » ressort à 93 % (95 % l’an dernier), tand (...)
Le colza est tiré à la baisse par les craintes macroéconomiques malgré des conditions de cultures de soja préoccupantes en Argentine et un vif rebond des cours de l'huile de palme.
Les prix du blé subissent à nouveau la concurrence russe. Les conditions de cultures de maïs en Argentine demeurent toutefois préoccupantes.
Une économie mondiale peu porteuse et la concurrence du blé russe et du soja brésilien laissent Chicago dans le rouge.

La tendance à la baisse se poursuit pour les engrais azotés, à la faveur de la décrue des prix du gaz naturel. La demande reste mesurée et l’offre importante sur le marché européen.

Nous évoquions au début du mois le risque concret d’une dégradation des conditions de culture en France. Depuis, l’absence de précipitations s’est effectivement confirmée et les cartes météo ne montre (...)
La pression du complexe soja tire légèrement le colza à la baisse. Les cours des huiles retrouvent toutefois de la hauteur.
Les céréales européennes creusent leurs pertes à la mi-séance face aux améliorations climatiques aux US.

Les prévisions d’exportation d’orge française sur 2022/23 viennent d’être revues en hausse en 350 000 t, un bond lié au regain de demande côté chinois sur la seconde partie de la campagne.
La fermeté du dollar, un climat plus favorable dans le Midwest et une trituration décevante font plier Chicago.

« La moindre rumeur fait sursauter le marché » : l'incertitude grandissante sur l'avenir du corridor maritime agricole ukrainien a fait remonter les cours du blé et du maïs sur le marché européen, au (...)

Le manque de précipitations en France est préoccupant, tandis qu’aux US, en Russie et en Argentine les améliorations climatiques se confirment.

Dans son dernier bilan, FranceAgriMer a finalement révisé à la baisse de 150 kt le potentiel d’exports français de blé tendre vers les pays tiers, à 10,45 Mt (8,8 Mt l’an dernier). Les exportations in (...)
La résistance des 300 €/t et un potentiel d’exports français révisé à la baisse tirent les cours à la baisse.
Des inquiétudes macroéconomiques et des surfaces de colza révisées à la hausse pèsent sur les prix du colza.

Les semis d'hiver de 2022 en France montrent une nette augmentation des surfaces en tournesol et soja, une tendance qui s'explique notamment du fait de la guerre en Ukraine, selon un bilan présenté ma (...)

Les conditions sèches et chaudes qui pèsent sur l’Argentine depuis plusieurs mois mènent à une réduction importante des prévisions pour la récolte de soja à venir.
Chicago recule mais l’escalade du conflit ukrainien maintient une forte tension dans le marché.

L’avenir du corridor d’export de produits agricoles ukrainiens est incertain, si l’en croit plusieurs diplomates russes ces derniers jours. L’un d’eux a ainsi jugé « inapproprié » son maintien au vu d (...)
Le colza tente de se maintenir dans le vert malgré le rebond de la parité eurodollar.
L’escalade du conflit en Ukraine et les conditions climatiques en Amérique du Sud poussent difficilement les prix du blé et du maïs à la hausse.
Le risque d’un non-renouvellement du corridor sécurisé en mer Noire et des conditions climatiques sous surveillance en Amérique du Sud relancent Chicago à la hausse.

Entre constitution de stocks céréaliers et restrictions aux exportations d’engrais, la politique de la Chine pour assurer sa sécurité alimentaire influence les équilibres globaux et contribue aux prix (...)